Directeur de publication :
Denis CARRETIER Président de la Chambre Régionale d'Agriculture d'Occitanie
BP 22107 31321 CASTANET TOLOSAN Cx Tel 05.61.75.26.00
Dépôt légal : à parution ISSN en cours
Comité de validation :
Chambre d'agriculture de Hte-Garonne, Chambre régionale d'Agrculture d'Occitanie, DRAAF Occitanie, Vinovalie Cave de Fronton
Action pilotée par le Ministère chargé de l'agriculture, avec l'appui financier de l'Agence Française pour la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto.
Surveillez l'évolution de la végétation et soyez vigilants à la survenue de conditions humides propices aux contaminations.
Le vol devrait démarrer d'ici début avril. Pensez à installer d'ores et déjà vos pièges.
Surveillez l'apparition du stade pointe verte sur les parcelles sensibles.
Le réseau de surveillance biologique du territoire pour la filière viticulture est en place depuis 2010. Il repose désormais sur un réseau d'observation stable sur lequel un socle d'informations peut être collecté chaque semaine afin d'établir une évaluation du risque sanitaire pour les principaux parasites de la vigne. Pour le vignoble de Fronton, le réseau compte une quinzaine de parcelles de référence (traitées et non traitées) ainsi qu'une trentaine de pièges à phéromone pour le suivi des vols d'Eudémis et Eulia. Les données d'observation sont collectées par de nombreuses structures partenaires (dont vous retrouvez la liste en fin de bulletin) et par des viticulteurs observateurs. Il est important de rappeler que l'analyse de risque éditée dans les bulletins s'appuie également sur les données issues de modèles épidémiologiques.
Suivis Labo
La modélisation
5 points météo
L'analyse de risque
Les observations terrain
5 TNT 10 Parcelles référence Tournées vignoble 30 Pièges tordeuses
Synthèse et évaluation des risques J et J+7
L'organisation du comité de validation est la suivante :
Animatrice filière régionale : B. Cichosz, Chambre régionale d'agriculture Animation du réseau régional, rédaction et publication des BSV
IFV Sud Ouest : A. Petit Modélisation
Référents vignoble / Représentants Coop et Négoce :
Fronton : F. Bedouet (CA 31) / M. Muller (Vinovalie) Animation du réseau vignoble, collecte de données et validation des BSV
FREDON : C. Lassort Suivis biologiques laboratoire
SRAL : L. Lagarrigue Contrôle de second niveau
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE Édition Midi-Pyrénées Fronton N°1 DU 23 MARS 2017 Page 1/7
Pour la campagne 2017, la trame des bulletins a été sommairement modifiée pour faire apparaître plus distinctement les techniques alternatives de lutte et les méthodes prophylactiques pouvant concourir à une gestion efficace des différents parasites. Ces paragraphes apparaîtront sous la forme suivante :
T echniques alternatives : En présence de symptômes sur jeunes feuilles, un rognage léger
peut permettre de limiter l'évolution du champignon en empêchant les repiquages vers le bas de la végétation.
L'automne 2016 a été marqué par un fort contraste entre des mois de septembre et octobre globalement très secs suivis d'un mois de novembre très humide et agité. Très chaudes en début d'automne, les températures ont ensuite connu deux pics de froid en octobre et novembre. L'hiver 2016-2017 a été marqué par un déficit pluviométrique très marqué sur une grande partie de la région. Il se classe ainsi parmi les cinq hivers les plus secs sur la période 1959-2017.
Les températures sont très contrastées au fil des mois : les températures ont été de saison en décembre, puis hivernales durant le mois de janvier avec deux épisodes de froid. Le mois de février est ensuite marqué par une douceur souvent printanière.
Prévisions saisonnières pour le trimestre mars, avril et mai 2017 : Les températures prévues par les modèles sur l'Europe sont majoritairement plus chaudes que la normale. Quant aux précipitations, aucune tendance ne se dégage à ce jour.
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE Édition Midi-Pyrénées Fronton N°1 DU 23 MARS 2017 Page 2/7
Le stade moyen observé se situe entre bourgeons d'hiver (stade 1) et le stade bourgeon dans le coton (stade 3). Quelques rares stades pointe verte (stade 5) sont visibles sur Chardonnay et Gamay en situations précoces. Les températures douces annoncées pourront être favorables à une progression de la phénologie.
Photos IFV
Éléments de biologie La période de sensibilité de la vigne s'étend du stade 6
(éclatement des bourgeons/sortie des feuilles) au stade 9
(premières feuilles étalées). La croissance végétative met ensuite la partie terminale sensible du sarment hors de portée des contaminations par le champignon.
Biologie et description des symptômes :
Le champignon responsable de l'excoriose se conserve durant l'hiver sur les écorces et dans les bourgeons. Il produit des pycnides de couleur noire à la fin de l'hiver et au printemps sur les bois excoriés. Lorsque les conditions climatiques deviennent favorables à la germination des pycnides
(précipitations prolongées), celles-ci sécrètent un
" gel " de couleur jaune contenant les spores. La pluie, en diluant les spores, va permettre leur dissémination sur des organes réceptifs. Cette dissémination se fait sur de courtes distances et la maladie reste très localisée. Les attaques apparaissent au printemps, sur les jeunes rameaux, peu après le débourrement, et se manifestent par des taches brun-noir parfois d'aspect liégeux à la hauteur des premiers entre-nœuds.
Mesures prophylactiques : Les bois porteurs de lésions doivent être éliminés autant que possible lors de la taille d'hiver.
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE Édition Midi-Pyrénées Fronton N°1 DU 23 MARS 2017 Page 3/7
Éléments de biologie Les premières contaminations peuvent s'opérer dès le stade 2-3 feuilles étalées (stade 9) à partir de baies
" momifiées " restées sur les souches. Lorsque le champignon rencontre des conditions favorables au printemps, les contaminations peuvent être très précoces
(16 avril pour la première pluie contaminante en 2015) et les symptômes peuvent alors progresser rapidement et atteindre les jeunes grappes en formation. L'expression des symptômes est relativement longue, de l'ordre de 20 à 30 jours après la contamination, en conditions printanières.
Biologie et description des symptômes :
Le champignon responsable du black-rot se conserve sur les baies momifiées (grapillons non récoltés, accrochés au palissage ou tombés au sol), les vrilles, les feuilles infectées tombées au sol ou encore sur les chancres présents sur les sarments. Les formes de conservation sont d'autant plus présentes dans les parcelles que les symptômes développés l'année N-1 ont été importants. Le black rot est qualifié de maladie à foyers. Au printemps, l'augmentation des températures et de l'hygrométrie permet la reprise d'activité du champignon et la production de spores qui pourront être disséminées lors de forte ? pluie.
Mesures prophylactiques : Elles servent à diminuer les sources d'inoculum primaire : les rameaux porteurs de chancres ou les grappes avec des baies momifiées restées sur les souches doivent être éliminés à la taille. Sur les vignes conduites en taille rase ou non taille, les grappes momifiées représentent un facteur de risque important.
un travail du sol pour enfouir les résidus de feuilles et de grappes tombés au sol peut réduire ensuite le risque de projection au printemps.
Éléments de biologie La surveillance est ciblée sur Eudémis (Lobesia botrana), seule tordeuse causant des dégâts significatifs dans les vignobles de la région. Une autre tordeuse est surveillée, non pas pour sa nuisibilité mais pour sa biologie. Il s'agit d'Eulia, dont le vol survient généralement entre 10 à 15 jours avant celui d'Eudémis et permet ainsi d'anticiper celui-ci.
Biologie et description des symptômes :
Situation au vignoble Les premiers pièges viennent d'être mis en place au vignoble. D'après le modèle de prévision Roehrich (somme des températures moyennes en base 0°C à compter du 1er février), les premiers papillons mâles seraient aptes à voler à partir du seuil théorique de 565°C jours. Ce seuil n'est pas atteint à ce jour mais pourrait l'être autour du 8 avril si l'on se réfère aux conditions météorologiques actuelles.
Les vers de grappe hivernent sous forme de chrysalides, au sol ou sous les écorces. Au printemps, les adultes de la première génération (G1) émergent de ces chrysalides et entament le premier vol. Ce vol de G1 peut démarrer plus ou moins précocement selon les conditions de l'année et s'étaler sur près d'un mois. Les premiers œufs sont alors déposés sur le bois puis, sur les bractées des inflorescences dès que le développement végétatif de la plante le permet.
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE Édition Midi-Pyrénées Fronton N°1 DU 23 MARS 2017 Page 4/7
600
500
somme Vacquiers
Linéaire (somme Vacquiers)
400
Seuil théorique pour la pose
Seuil théorique pour le début de vol
300
200
100
0
01/02/2017
03/02/2017
05/02/2017
07/02/2017
09/02/2017
11/02/2017
13/02/2017
15/02/2017
17/02/2017
19/02/2017
21/02/2017
23/02/2017
25/02/2017
27/02/2017
01/03/2017
03/03/2017
05/03/2017
07/03/2017
09/03/2017
11/03/2017
13/03/2017
15/03/2017
17/03/2017
19/03/2017
21/03/2017
23/03/2017
25/03/2017
27/03/2017
29/03/2017
31/03/2017
02/04/2017
04/04/2017
06/04/2017
08/04/2017
10/04/2017
12/04/2017
14/04/2017
Techniques alternatives : Dans les cadre de la confusion sexuelle, les diffuseurs doivent être mis en place avant l'émergence de la première génération. En condition de printemps doux, un démarrage précoce du vol est à prévoir. L'efficacité du dispositif dépend du bon respect des conditions de pose (respect des densités de diffuseurs, renforcement des bordures
). La date optimale de fin de pose devrait être fin mars.
Éléments de biologie Sur les parcelles à risque
(régulièrement attaquées), les dégâts peuvent apparaître très précocement, dès le stade pointe verte. Ainsi, des galles peuvent être visibles sur les premières feuilles à la base des rameaux. Lors d'attaques importantes au printemps, l'érinose peut gêner le développement des jeunes pousses et provoquer un avortement des fleurs.
Situation au vignoble Les dégâts des dernières campagnes semblaient moins intenses mais l'activité du ravageur reste significative chaque année, que ce soit au début du printemps au ensuite dans le courant de l'été.
Biologie et description des symptômes :
L'érinose est caractérisée par l'apparition, à la face supérieure des jeunes feuilles, de galles boursouflées. A la face inférieure de la feuille, se forme également un feutrage dense blanc ou rosé. Lorsque les galles vieillissent, ce feutrage vire au brun rouge. L'acarien responsable des ces symptômes est invisible à l'œil nu. Les femelles hivernent dans les écailles des bourgeons et colonisent très tôt les jeunes feuilles pour se nourrir et pondre. Très rapidement après le débourrement démarre une phase de reproduction de l'acarien au cours de laquelle seront produites les populations d'adultes des premières générations estivales qui vont migrer vers le bourgeon terminal et les nouvelles feuilles des rameaux. Cette migration démarre fin mai et s'intensifie après la floraison.
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE Édition Midi-Pyrénées Fronton N°1 DU 23 MARS 2017 Page 5/7
Éléments de biologie Les attaques d'acariose au printemps se manifestent de manière très localisée. Les symptômes sont provoqués par le développement d'acariens microscopiques sur les bourgeons puis les jeunes pousses. Ce sont les femelles hivernantes qui provoquent ces attaques précoces lorsqu'elles piquent les tissus végétaux pour s'alimenter. A ce stade, les cellules végétales meurent et provoquent des malformations des feuilles ou la mauvaise croissance des rameaux. On observe donc que certains bourgeons ne démarrent pas alors que d'autres poussent faiblement et restent rabougris. Certains de ces rameaux vont se ramifier à leur base et donner un aspect buissonnant au cep. Les feuilles de la base des rameaux sont plissées et recroquevillées.
Éléments de biologie Plusieurs espèces de cochenilles peuvent se rencontrer sur la vigne. Dans nos vignobles, les plus représentées sont les cochenilles lécanines et les cochenilles floconneuses. Ce ravageur secondaire ne nécessite généralement pas de gestion spécifique en vigne car il existe tout un cortège d'auxiliaires qui participe à la régulation naturelle des populations
(Ex : coccinelles, chrysopes, ou certains coléoptères (Anthribidae)...).
Biologie et description des symptômes :
Les cochenilles sont des insectes piqueurs suceurs (ordre des Hémiptères). Elles sont univoltines (1 cycle annuel). Elles hivernent au stade larvaire. La ponte commence en avril et peut se poursuivre jusqu'en août. Elle dure en moyenne 3 mois. La présence de larves sur le feuillage s'étale de mai à septembre/octobre selon les espèces. Ensuite les stades hivernants rejoignent les rameaux et les troncs pour y passer l'hiver. La forme larvaire est le principal stade mobile, facteur de dispersion. Les cochenilles se nourrissent de la sève en piquant les tissus végétaux. Ces prélèvements répétés peuvent affaiblir le cep, en cas de population importante. Par ailleurs, les cochenilles sont vectrices du virus de l'enroulement.
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE Édition Midi-Pyrénées Fronton N°1 DU 23 MARS 2017 Page 6/7
Éléments de biologie Les attaques en début de végétation peuvent engendrer un rabougrissement ou un ralentissement de la croissance végétative, voire un destruction complète du feuillage ou des rameaux dans les cas de très fortes attaques. Le printemps 2016, particulièrement pluvieux, avait été favorable à l'activité de mollusques
(limaces et escargots). Et des populations localement très abondantes avaient occasionné des dégâts très réguliers et ponctuellement sévères. L'incidence des escargots reste toutefois à relativiser et entièrement liée à la pluviométrie de la saison.
Évaluation du risque : Il convient d'être vigilant lors des printemps humides et doux. Les stratégies de gestion reposant sur la mise en place d'appâts au sol, il est primordial d'anticiper la remontée des populations dans les souches et de les mettre en place en début d'infestation dans les parcelles à risque.
La note technique commune " Gestion de la résistance 2017 - Maladies des la vigne Mildiou, Oïdium, Pourriture grise " est téléchargeable sur le site de la CRA Occitanie : http://www.occitanie.chambre-agriculture.fr/fileadmin/user upload/Occitanie/512 Fichiers-communs/documents/BSV/Notes techniques/Note technique commune Vigne 2017CRAO2017.pdf
REPRODUCTION DU BULLETIN AUTORISÉE SEULEMENT DANS SON INTÉGRALITÉ ( REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE )
Ce bulletin de santé du végétal a été préparé par l'animateur filière viticulture de la Chambre Régionale d'Agriculture d'Occitanie et élaboré sur la base des observations réalisées par la Chambre d'Agriculture de Haute-Garonne, la Cave de Fronton et les agriculteurs observateurs. Ce bulletin est produit à partir d'observations ponctuelles. S'il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut pas être transposée telle quelle à la parcelle. La CRA d'Occitanie dégage donc toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs pour la protection de leurs cultures et les invite à prendre ces décisions sur la base des observations qu'ils auront réalisées et en s'appuyant sur les préconisations issues de bulletins techniques.
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE Édition Midi-Pyrénées Fronton N°1 DU 23 MARS 2017 Page 7/7
Cette liste n'est pas exhaustive. Le choix du matériel végétal peut être un élément à prendre en considération pour limiter la vigueur de la vigne. Mais il ne figure pas dans cette liste car celle-ci se veut applicable à tous les objectifs de rendement.
Bio-agresseurs | Techniques alternatives etprophylaxie | Objectifs |
Drainage du sol | Limiter les flaques réduit les possibilités de formationde foyers primaires | |
Mildiou | Enherbement, travail du sol, épamprage | Diminuer le développement d'organes verts àproximité du sol |
Travail du sol (avant risque mildiou élevé) | Détruire les plantules issues des semis de pépins | |
Ebourgeonnage, effeuillage | Limiter les entassements de végétation pour réduirela durée d'humectation des grappes | |
Oïdium | Ebourgeonnage, effeuillage | Favoriser l'insolation et l'aération des grappes carl'oïdium est sensible aux UV |
Maîtrise de la fertilisation azotée et enherbement | Réduire la vigueur | |
Black Rot | Destruction des bois de taille élimination des vieuxbois et des baies momifiées | Limiter la source d'inoculum |
Drainage du sol | Limiter les « mouillères » | |
Maîtrise de la fertilisation azotée, enherbement | Réduire la vigueur | |
Pourriture griseet acide | Ebourgeonnage, effeuillage | Limiter les entassement de végétation et aérer lesgrappes pour réduire les durées d’humectation |
Maîtrise des vers de grappes | Limiter les risques de porte d’entrée pour lechampignon | |
ESCA/BDA / | Taille le plus possible respectueuse des circuits desève | Diminuer l’impact des maladies du bois |
Eutypiose | Taille au plus près du débourrement (Eutypiose) | Se protéger des contaminations |
Dévitalisation des ceps avant arrachage | Compléter la lutte en privant les nématodes denourriture avant l'enkystement hivernal | |
Court-noué | Repos du sol entre deux plantations (durée de 5 ansminimum fortement conseillée) | Limiter la recontamination par le virus court-noué |
Pourridié | Drainage du sol | Limiter le développement du pourridié |
Cicadelles vertes | Poudrages d’argiles calcinées | Créer une barrière physique empêchant lareconnaissance du végétal par l’insecte |
Cicadelle vectrice dela flavescence dorée | Destruction des ceps atteints de jaunisse, desrepousses de porte-greffes et des vignesabandonnées | Compléments indispensables à la lutte contre laflavescence dorée |
Tordeuses | Confusion sexuelle | Empêcher la reproduction des papillons et donc lesperforations occasionnées par les larves |
Acariens/ Thrips | Préservation des populations d’auxiliaires ou lâchersinoculatifs de phytoséides (Ex : typhlodromes) | Maintenir une régulation des ravageurs par leursprédateurs naturels |
Metcalfa pruinosa | Lâchers de Neodryinus typhlocybae (prédateur deMetcalfa pruinosa) | Installer une population suffisamment importante deprédateurs |
Document rédigé en collaboration avec les partenaires du réseau SBT membres des comités de validation : les Chambres d'Agriculture de l'Aveyron, de la Haute-Garonne, du Gers, du Lot, du Tarn et du Tarn-et Garonne, la Cave de Valady, le Syndicat AOC Cahors, Vinovalie (Côtes d'Olt, Fronton et Rabastens).
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL VITICULTURE - Édition Midi-Pyrénées - CAMPAGNE 2017 Page 1/1