SOMMAIRE
HARICOT : sclérotinia de plus en plus présent et premiers symptômes de botrytis
CAROTTE : l 'oïdium de plus en plus présent
EPINARD : captures de noctuelle gamma
CELERI : situation saine
MOUCHES DES SEMIS : situation saine
POIREAU : populations de thrips en augmentation
ENDIVE : puceron de l'endive et alternaria à surveiller
SALADES : populations de pucerons en augmentation
CHOUX : prolifération de pucerons et d'aleurodes
Réseau : 7 parcelles fixes (6 haricots et 1 flageolet), 1 parcelle flottante et 6 pièges (4 pièges Heliothis et 4 pièges pyrale).
Stade : Boutons floraux à récolte
Les captures de pyrales et de noctuelles Héliothis de cette semaine sont récapitulées dans le tableau ci-dessous. L'Héliothis reste toujours très présente dans les différents secteurs de production sans pour autant entraîner de dégâts. Pour rappel, le seuil de nuisibilité est lié à la présence des premiers dégâts dans les parcelles (détection d'œufs, trous dans les gousses et les feuilles).
Papillon Heliothis sur feuille de haricot (Source : UNILET)
Chenille d'Heliothis
(Source : UNILET)
Le sclérotinia est de plus en plus présent dans les parcelles de haricots et de flageolets. La plupart des parcelles qui se rapprochent de la récolte sont concernées par la maladie même si la protection fongicide a été correctement réalisée. À Balinghem (59), 12 % des plantes sont faiblement touchées par la maladie. À Dompierre Bécquincourt (80), 36 % des plantes comportent entre 1 et 2 symptômes, 16 % entre 3 et 4 et 8 % plus de 4 symptômes. Pour rappel, le sclérotinia apparaît généralement à partir de la floraison sous forme de taches humides et irrégulières sur les tiges et les gousses qui évoluent en mycélium blanc. Une extension rapide de ce mycélium entraîne la mort de tout ou partie de la plante. Il existe une solution de biocontrôle pour lutter contre cette maladie sous forme de traitement de sol à appliquer préventivement avant le semis. Différents OAD disponibles en ligne comme HASCLERIX (www.hasclerix.fr) ou SCAN BEAN permettent de gérer le risque sclerotinia sur haricot.
Symptômes de Sclérotinia sur tige de haricot (Source : UNILET)
Deux parcelles sont concernées par la maladie. À Dompierre Bécquincourt (80), 12 % des plantes sont faiblement touchées par le botrytis. À Bucy Les Pierrepont (02), 20 % des plantes présentent entre 3 et 4 symptômes. La maladie provoque des taches nécrotiques sur les tiges et les feuilles et une pourriture molle et grise sur les gousses. Elle est favorisée par des températures moyennes et une forte hygrométrie. Pour être efficace, la lutte doit être préventive dès le stade floraison.
Réseau : 4 piégeages.
Les captures de noctuelles, réalisées cette semaine, sont récapitulées dans le tableau ci-contre. Le vol a diminué par rapport à celui de la semaine précédente, sauf sur la parcelle située à Vaux en Vermandois (02) où un pic de 45 papillons a été relevé. Pour rappel, aucune protection n'est nécessaire avant l'apparition des premiers dégâts
(trous dans les feuilles).
Réseau : 3 parcelles fixes (2 carottes nantaises et 1 grosse carotte) et 2 piégeages
Stade : Diamètre 20 mm à 50 mm
La mouche de la carotte est capturée sur un seul site où le seuil de nuisibilité n'est pas atteint.
Répartition des pièges pour le suivi des mouches de la carotte et niveaux de captures (mouche/piège/semaine).
Tous les secteurs de production sont concernés par l'alternaria. À Loizy
(02), Emmerin (59) et Baralle (62), de faibles attaques (entre 1 à 5 % de feuilles malades) sont observées avec respectivement 10 %, 16 % et 20 % de plantes touchées. Pour rappel, la maladie se caractérise par l'apparition de petites taches décolorées sur le bord des folioles, qui se dessèchent et donnent ensuite l'aspect de brûlures. Les feuilles vieillissantes ou affaiblies sont les premières touchées. La maladie est favorisée par un temps chaud et humide (orage, irrigations). Restez vigilants car il est difficile de contenir la maladie, une fois qu'elle s'est déclarée.
L'oïdium est de plus en plus présent sur les parcelles du réseau. À Emmerin (59), 40% des plantes présentent entre 1 et 5 % de feuilles malades. À Loizy (02), 80 % des plantes comportent entre 5 et 20 % de feuilles touchées par la maladie. Pour rappel, l'oïdium se caractérise par l'apparition de taches poudreuses d'un blanc-grisâtre sur la face supérieure des feuilles. Les facteurs favorables à la maladie sont un temps chaud et orageux, un développement excessif du feuillage et une humidité nocturne. Surveillez vos parcelles car le seuil de nuisibilité est atteint dès l'apparition des premiers foyers, la maladie se développant rapidement.
A Emmerin (59), Gouves (62), Hinges (62), Saint-Omer (62) et Bucquoy (62), aucune capture de mouche du céleri n'a été constatée. Une mouche de la carotte a été piégée à Bucquoy (62).
Pour la sixième semaine consécutive, aucune mouche des semis n'a été capturée dans les bols jaunes, au Paraclet (80). Le risque est moindre dorénavant.
Réseau : 2 parcelles et 6 piégeages
Stade : 6/7 feuilles à récolte
Le nombre de thrips piégés par plaque et par jour a augmenté ces derniers jours, sur les 2 sites de piégeages.
Cette hausse des captures est en corrélation avec l'augmentation des populations et dégâts observée sur la culture. En effet, à Violaines (62), 100% des plantes observées présentent des dégâts de thrips sur le feuillage (sur environ 15% de la surface des feuilles), tandis qu'à Eecke (59), 68 % des feuilles sont désormais touchées (contre 28% la semaine précédente).
Les thrips vivants sont présents sur 20% des plantes à Eecke (59) (contre 8 % la semaine précédente) et 16% à Violaines (62) (contre 4 % la semaine précédente). Maintenez la surveillance de vos parcelles ! La présence du ravageur et des dégâts se généralise.
10 teignes ont été capturées à Trosly-Breuil (60) et Bichancourt (02). Les captures sont donc constantes sur le premier site alors qu'elles diminuent sur le second. Aucun dégât n'est signalé actuellement mais pourraient être visibles. Pour rappel, le seuil de nuisibilité est atteint dès la présence de chenilles.
Aeolothrips et œufs de chrysopes sur poireau
(Source : FREDON NPDC)
Réseau : 5 parcelles et 6 piégeages
Stade : 5 feuilles à récolte
Noctuelle Site de piégeage Les captures de noctuelles (Autographa gamma) ont fortement diminué gamma sur l'ensemble de la région : 6 ravageurs/parcelle en moyenne contre 15 Haubourdin
(59) 0 la semaine précédente. Seuls les sites d'Ennetières-en-Weppes (59) et 7 Calonne-sur-la-Lys (62) ont connu une légère augmentation de leurs cap- Ennetières-en-Weppes (59) tures. Calonne-sur-la-Lys (62) 6 Le Maisnil (59) 9 Lorgies
(62) 3 Sur les sites de Le Maisnil (59) et Calonne-sur-la-Lys (62), des dégâts Trosly-Breuil (60) 13 de chenilles sur les salades sont Vignacourt (80)
/ toujours observés, à raison, respectivement, de 16% et 4% de plantes endommagées. Des chenilles n'ont cependant été visibles que sur le site de Le Maisnil (59) où 20% des plantes abritaient des noctuelles.
La surveillance des parcelles reste de mise. En cas d'infestation, une solution de biocontrôle existe et est efficace si elle est appliquée sur jeunes chenilles.
Les populations de pucerons ont augmenté ces derniers jours et sont désormais visibles sur l'ensemble des sites :
8% de plantes infestées (4% avec de 1 à 3 pucerons et 4% avec plus de 10 pucerons) à Calonne-sur-la-Lys (62)
16% (8% avec de 1 à 3 pucerons, 4% 4 à 10 pucerons et 4% plus de 10 pucerons) à Ennetières-en-Weppes (59)
4% (avec de 1 à 3 pucerons) à Haubourdin (59)
20% (12% avec de 1 et 3 pucerons et 8% avec de 4 à 10 pucerons) à Le Maisnil (59)
16% (avec de 1 à 3 pucerons) à Lorgies (62)
Le temps devrait continuer à être favorable aux pucerons cette semaine. Surveillez vos parcelles et vérifiez la présence d'auxiliaires.
Réseau : 4 parcelles et 11 piégeages
Stade : croissance de la racine
Les piégeages en bacs jaunes ont globalement Site S29 diminué sur la région (11 mouches par site en Loos-en-Gohelle (62) 8 moyenne contre 16 la semaine précédente). Illies
(59) 1 Localement, toutefois, certains sites ont vu leurs Avelin
(59) 1 populations augmenter de nouveau : Illies (59), Boiry-Notre-Dame (62) et Soyécourt (80). Le Boiry-Notre-Dame (62) 1 seuil (15 mouches cumulées dans 3 bacs sur 14 Noreuil (62) 4 jours) est toujours dépassé à Boiry-Notre-Dame, Bertincourt (62) 7 Bertincourt, Soyécourt et Noreuil. Marcelcave
(80) 9 16% de plantes avec des dégâts ont été observées Soyécourt
(80) 0 à Loos-en-Gohelle (62) et 50% à Soyécourt (80). Ces symptômes se traduisent notamment par la Ailly-le-Haut-Clocher (80) formation de galeries à la base du pétiole ou sur Graincourt (62) 0 le collet des plantes. Poursuivez la surveillance Arras (62) 2 de vos cultures.
Site | S29 | S30 | S31 | S32 | S33 | S34 |
Loos-en-Gohelle (62) | 8 | 3 | 15 | 28 | 9 | 1 |
Illies (59) | 1 | 0 | 2 | 7 | 1 | 5 |
Avelin (59) | 1 | 1 | 1 | 6 | 5 | 2 |
Boiry-Notre-Dame (62) | 1 | 14 | 36 | 47 | 7 | 11 |
Noreuil (62) | 4 | 18 | 65 | 206 | 99 | 44 |
Bertincourt (62) | 7 | 91 | 43 | 69 | 29 | 23 |
Marcelcave (80) | 9 | 1 | 0 | 6 | 0 | 0 |
Soyécourt (80) | 0 | 0 | 7 | 40 | 12 | 26 |
Ailly-le-Haut-Clocher (80) | - | 0 | - | - | 5 | 0 |
Graincourt (62) | 0 | 0 | 1 | 7 | 8 | 0 |
Arras (62) | 2 | 0 | 8 | 3 | 2 | 0 |
Aucune capture de puceron n'a été signalée ces derniers jours sur l'ensemble du réseau de piégeage. Cependant, des pucerons sont observés en culture :
à Loos-en-Gohelle (62) sur 16% des plantes (12% avec de 1 à 3 pucerons et 4% avec de 11 à 30 pucerons)
À Soyécourt (80) sur 70% des plantes (25% avec de 4 à 10 pucerons, 25% avec de 11 à 30 pucerons et 20% avec de 30 à 100 pucerons) Thaumatomyia spp. (mouche auxiliaire dont la larve mange le puceron) est présente sur la plupart des parcelles suivies. Pour favoriser l'installation de mouches prédatrices du puceron, il est conseillé de maintenir des bandes fleuries à proximité des parcelles.
Aucun individu n'a été observé cette semaine.
Des dégâts de cicadelles ont été observés sur 80% des plantes à Loos-en-Gohelle et 20% à Arras (62). Même si la proportion de ces symptômes augmente, elle n'impacte que peu la Dégâts de cicadelles
(FREDON NPdC) culture.
40% des endives présentent des dégâts de noctuelle à Arras (62). Les dégâts sont limités à quelques morsures, sans préjudices pour la culture.
Les symptômes d'Alternaria sont visibles sur de nombreuses parcelles mais à des niveaux variables. Des taches ont été observées sur 4 % des plantes à Loos-en-Gohelle, 24% à Fressin (62) et 32% à Arras (62).
Réseau : 10 parcelles et 9 piégeages
Stade : 10 feuilles à récolte
Les populations de Noctuelle gamma et teigne de crucifères piégées ont encore chuté cette semaine. Sur les plantes, la présence des ravageurs est corrélée aux niveaux de piégeages : à Clairmarais (62) 8% des plantes sont endommagées, Saint Momelin (59) 20% et Ennetières-en-Weppes (59) 4%. Les autres parcelles de référence sont dénuées de symptômes. Dans les Weppes, les chenilles observées sont majoritairement celles de piéride de la rave. Elles s'abritent dans le cœur des choux où elles trouvent de la fraicheur. Un vol d'adultes est en cours dans ce secteur.
Des cocons de teigne sont visibles sur les choux-fleurs : 4% des plantes sont concernées à Ennetières-en-Weppes (59).
5 Sites de pié-geage | Noctuelle gamma | Teigne des crucifères |
Ennetières-en-Weppes (59) | - | 1 |
Saint-Momelin (59) | - | 0 |
Illies (59) | 2 | 0 |
Trosly-Breuil (60) | - | 5 |
Clairmarais (62) | - | 4 |
Cassel (59) | 10 | 2 |
Des altises sont toujours observées à Ennetières-en-Weppes (59) et Saint-Momelin (59), à raison de 88% et 20% de pieds touchés. Le nombre de choux infestés a donc encore augmenté par rapport à la semaine précédente
(24% à 40% de pieds concernés). Le nombre d'altises par chou peut lui aussi être localement important. Elles se retrouvent sur les vieilles feuilles, parfois sur la pomme, où leurs morsures laissent des traces marrons. La lutte contre les altises doit privilégier les mesures prophylactiques.
Celles-ci permettent de limiter la propagation de ce bio-agresseur :
- éliminer toutes les adventices, en particulier celles de la famille des crucifères, en effet, elles permettent aux altises de s'abriter, les altises passent l'hiver sous forme adulte sur des adventices ou de la matière organique, le labour et les déchaumages leur sont donc défavorables. Altises sur feuille de chou pommé
- favoriser une levée rapide des semis et un développement rapide des
(PLRN) jeunes plants. Par ailleurs, une surveillance régulière de vos parcelles est conseillée, elle vous permettra d'apprécier l'évolution des populations. Côté auxiliaires, il existe des parasitoïdes, larvaires, pour la plupart. Comme les altises pondent leurs oeufs à la surface du sol certains carabes ou les larves de Cantharides peuvent en consommer.
Les thrips sont préjudiciables sur la culture de choux, au stade formation de la pomme. Les insectes se glissent entre les feuilles et piquent pour se nourrir. En choux-fleurs les dégâts sont minimes. A Saint-Omer (62), la pression en thrips est importante : 54 thrips par plaque par jour ont été dénombrés. Néanmoins, aucun dégât n'a été observé sur l'ensemble du réseau.
Les aleurodes sont visibles sur la plupart des parcelles. Une fois installés, il est souvent difficile de les maitriser. On les retrouve sur la face inférieure des feuilles. En chou-fleur, à Ennetières-en-Weppes (59), 16% des pieds sont touchés par moins de 10 aleurodes. A Cassel (59), 24% des choux sont touchés par au moins 1 aleurode. A Illies (59), Clairmarais (62) et Saint-Momelin (59), la pression est très forte puisque 100% des pieds sont infestés par 10 à 100 aleurodes.
A Gentelles (80), conformément aux semaines précédentes, aucune mouche n'a été capturée dans les bols jaunes. De même, aucun oeuf n'a été observé sur feutrine la semaine dernière. Si la température du sol est supérieure à 22°C, les pupes restent en état de repos (quiescence) sans évoluer jusqu'à ce que la température redevienne inférieure à 20°C.
16% des choux-fleurs sont colonisés à Ennetières-en-Weppes (59) et Clairmarais (62) et 45% sur une parcelle flottante du secteur des Weppes. Sur les sites peu infestés, la présence d'auxiliaires permet une gestion de ces ravageurs. Toutefois, lorsque les colonies sont trop nombreuses et trop peuplées, ils peuvent ne pas suffire. Il est important de surveiller les parcelles pour anticiper une prolifération trop importante.
La présence de pourriture brune a été détectée sur 5% des choux pommés à Fromelles (62). Les bactéries (Erwinia et Pseudomonas) responsables de la maladie sont actives entre 5 et 37°C, mais leur prolifération augmente lorsque les températures sont élevées et que les plants subissent un stress hydrique.
Cette note, co-rédigée par des représentants de l'ACTA, d'ARVALIS-Institut-du-végétal, de l'INRA, de l'ITB, de la FNAMS, de TERRES INOVIA et d'AGROSOLUTIONS dresse l'état des lieux des résistances aux herbicides utilisés pour lutter contre les ad-ventices. Elle a également été relue d'un point de vue réglementaire par des représentants de l'Anses. En plus de rappeler les mécanismes de sélection des adventices résistantes, cette note a pour but de formuler des recomman-dations pour limiter les risques de sélection de résistances et maintenir durablement une efficacité satisfaisante des herbici-des. Des cas de résistance à des herbicides ont été quantifiés pour chaque adventice sur l'ensemble de la France. Les données ont été fournies et validées par les Instituts techniques et Organismes contributeurs de cette note, ainsi que par le COLUMA
(Comité de Lutte contre les Mauvaises herbes de VEGEPHYL). La réglementation tend à limiter l'utilisation et le panel d'herbicides disponibles. Dans le cas de certaines adventices, la sélection de résistances peut aggraver cette situation. Par ailleurs, l'homologation et la commercialisation de nouvelles substances se font de plus en plus rares (aucun nouveau mode d'action commercialisé de-puis 1991). La gamme des solutions de désherbage chimique est donc de plus en plus restreinte. Pour ces raisons, cette note détaille différents leviers incontournables permettant de lutter durablement contre les adventices, mais aussi de réduire le risque de sé-lection de résistances. Pour découvrir ces différents leviers permettant d'empêcher la généralisation des cas de résistances par l'alternance des modes d'action herbicides et les leviers agronomiques (travail du sol, désherbage mécanique, alternance des cultures de printemps et d'hiver ), cliquer sur l'image ci-contre.
L'Etat français envisage d'interdire le glyphosate en 2021. Cette décision peut entraîner des changements plus ou moins importants sur votre exploitation. Une enquête, proposée par les instituts techniques Arvalis, Terres Inovia, l'ITB, l'ACTA et la Fnams, est en cours de réalisation. Si vous souhaitez y participez (avant le 31 août 2019), elle est accessible à l'adresse suivante :
http://www.arvalis.fr/emailing/ENQUETE GLYPHOSATE/index.html
Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture et le ministère de l'écologie, avec l'appui financier de l'Agence Française pour la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto. Ce bulletin est rédigé à partir d'observations ponctuelles réalisées sur un réseau de parcelles. Il donne la tendance de la situation sanitaire. Toutefois celle-ci ne peut être transposée telle quelle à chacune des parcelles.
Directeur de la publication : Olivier DAUGER - Président de la Chambre Régionale d'Agriculture Hauts-de-France.
Coordination et renseignements : Aurélie ALBAUT - Chambre d'agriculture de la Somme / Samuel Bueche - Chambre d'Agriculture du Nord - Pas de Calais
Publication gratuite, disponible sur les sites Internet de la DRAAF et Chambre d'Agriculture des Hauts-de-France