Crédit photo : Chambre d'Agriculture de l'Ain
Cultures de plein champ Salade Carotte Céleri Chou Epinard Blette Betterave Oignon en vert Poireau Taches en losanges d'Alternaria Pomme de terre Radis - Navet Courgette Courge Cardon
Cultures sous abri Mieux connaitre la punaise Nezara Viridula Toutes cultures Courgette Concombre Aubergine Poivron Tomate Salade Blette et épinard Choux Céleri branche Fenouil Mâche
Du 4 avril au 25 octobre 2019 : 53 lieux d'observations visités cette semaine sur 77 lieux d'observations potentiels. Le territoire est subdivisé en 6 parties. Récapitulatif de présence ou symptômes des bio agresseurs
Cultures de plein champ
Salade
Limaces
Taupin
Sclérotinia
Mildiou
Pucerons
Rhizoctonia
Noctuelle
Bactériose
Carotte
Mouche
Alternaria
Oïdium
Céleri
Pucerons
Acariens
Septoriose
Chou
Punaise ornée
Pucerons vert et cendré
Noctuelles défoliatrices
Bacteriose à Xanthomonas
Aleurode
Alternaria
Mycosphaerella
Bacteriose à Pseudomonas
Epinard
Mildiou
Noctuelles
Pucerons
Acarien
Blette
Cercosporiose
Betterave
Cercosporiose
Oïdium Oignon en sec/bulbe, vert/printemps
Mildiou
Mineuse Phytomyza
Mouche de l'oignon
Thrips
Poireau
Mineuse Phytomyza
Rouille
Pression observée en S 37
Pression observée en S 39
Prévision pour les prochains jours
Alternaria
-7
Graisse
-7
Thrips
-3
Teigne
-7
Pomme de terre
0
Mildiou
-4
-7
Alternaria
-4
-7
Radis
0
-7
Mildiou
0
-7
Mouche
-3
-4
Pucerons
0
4
Navet
0
-3
Mouche
-3
-7
Puceron
0
0
0
-4
Pucerons
-7
-3
Mildiou
-4
-4
0
0
Oïdium
-4
-7
Punaise verte Nezara viridula
-4
-7
0
-4
Oïdium
-4
0
Persil
0
-4
Midiou Cultures sous abri
0
-7
0
-3
Salade
0
-3
Limaces
0
-7
Pucerons
0
-7
Noctuelle terricole
0
-4
Epinard
0
0
Acariens
0
0
Puceron
0
0
Blette
0
-4
Pucerons
0
0
Noctuelle et limaces
0
0
Pégomyie
0
0
Courgette
0
4
Pucerons
0
0
Oïdium
0
4
0
Pucerons
-7
Oignon
en
0
Oïdium
-3
Mildiou
-4
-4
Thrips
-4
-7
Aleurodes
0
-3
Acariens
-4
-4
Punaise Nezara Viridula
-3
0
Aubergine
0
-7
Pucerons
-7
-7
Acariens
-4
Punaise Lygus et Nezara
-3
0
Acariens
-7
Pucerons
0
Alternaria
4
Punaise
Tomate
Pucerons
Tuta absoluta
Noctuelles des fruits
Mildiou
Botrytis sur taille
Cladosporiose
Punaises
Oïdium
-7
-4
-3
-3
-4
-4
0
4
4
0
-7 Mouche mineuse |
-4 Acariose bronzée |
0 Chou |
0 Puceron |
0 Persil |
0 Midiou |
Céleri branche |
Puceron |
Fenouil |
Puceron |
Présence ou symptôme des bio-agresseurs
Faible
Moyen
Fort
Faible à moyen
Moyen à fort
Les auxiliaires sont des alliés très précieux dans la maîtrise des ravageurs. Apprenez à les reconnaitre.
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : la coccinelle à 7 points
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : la coccinelle à 14 points
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : la coccinelle asiatique
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : la coccinelle à virgule (Exochomus quadripustulatus)
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : Les chrysopes
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : Punaise de la famille des miridae : Genre Deraeocoris
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : Punaise de la famille des nabidae
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : Aeolothrips
Limace : Risque faible à moyen
Taupin : Risque faible
Sclérotinia : Risque faible
Mildiou : Risque faible
Puceron Problèmes physiologiques
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°4 : Sclérotinia sur laitue
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°4 : Botrytis sur laitue
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°4 : Big-Vein sur laitue
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°6 : Le coin diagnostic : nécrose marginale (Tip burn) sur laitue
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°7 : puceron sur laitue
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°8 : noctuelles sur laitue
Les mesures prophylactiques
Utilisation d'amendement à base de tourteau de ricin, qui présente des propriétés améliorant l'état sanitaire du sol, il permettrait de réduire le pourcentage d'éclosion des œufs ainsi que la vitesse de développement des larves de taupins.
Les mesures prophylactiques
Limiter au maximum les pontes en éliminant les adventices sur le champ et en bordure. La lutte directe Bio-contrôle
Intervention possible avec un BT (Bacillus thuringiensis)
Les mesures prophylactiques
Utiliser des variétés résistantes Nasonovia 0
La protection mécanique (voile tissé ou non) en pépinière, fauchage des abords.
Eviter l'excès d'azote, qui augmente la sensibilité aux pucerons
Les mesures prophylactiques
Rotation : nécessaire (l'absence de culture sensible pendant 2 à 3 ans réduit fortement la pression de la maladie).
Choix de la parcelle : préférer des précédentes céréales.
Après récolte : éliminer au maximum les résidus de cultures, si vous êtes sous abri.
Opération culturale : il faut diminuer l'humidité du sol et le contact de la plante avec le sol. Paillage plastique noir, techniques permettant de limiter le contact des feuilles avec le sol et en profilant le terrain afin d'assurer une bonne évacuation des eaux.
La lutte directe Bio-contrôle
En pulvérisation au sol utiliser le champignon Hyperparasitisme Gliocladium catenulatum à raison de 5 kg/ ha.
Mouche : Risque faible à moyen, surtout si le vol de printemps a été peu important.
Oïdium : Risque moyen à fort. Très dépendant des variétés et variable d'une parcelle à l'autre.
Seuil de nuisibilité : aucun pour les autres bio-agresseurs.
Pupe
Adulte
Œuf
Larve
Feuilles touchées : 5 % avec de 1 à 5 % de feuilles malades
Feuilles touchées : 20 % avec de 5 à 20% de feuilles malades
Feuilles touchées : 10 % avec symptômes/dégâts observés sur plusieurs plantes
Feuilles touchées : 20 % avec symptômes/dégâts observés sur plusieurs plantes
Pic des pontes : 14/09 pic des larves : 26/09
Fin de vol et de ponte : 04/10
Feuilles touchées : 5 à 8 % avec premiers symptômes/dégâts
Alternaria Les mesures prophylactiques
Choisir des variétés tolérantes
Éliminer les déchets de récolte
Eviter les arrosages en fin de journée ou la nuit
Adopter une fertilisation azotée rigoureuse (éviter les excès)
La lutte directe en culture biologique
Effet secondaire de produits à base de cuivre
Les mesures prophylactiques
Choisir des variétés peu sensibles.
La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Intervention éventuellement souhaitable dès observation des 1ères tâches sur les séries les plus tardives, pour préserver le feuillage. Soufre à 7,5 kg/ha ou d'huile essentielle d'orange douce à 2,4 l/ha.
Virose : Risque nul
Zone Alpine
Céleri branche
Lien vers BSV N°10, Le coin diagnostic : Avortement du bourgeon apical sur céleri rave
Lien vers BSV N°11, Le coin diagnostic : Mouche mineuse sur céleri
Lien vers BSV N°13, Le coin diagnostic : septoriose sur céleri
Régulation naturelle par les auxiliaires présents, principalement les coccinelles et les syrphes
Les mesures prophylactiques
Éviter les arrosages en fin de journée, arroser par matinées ensoleillées, pour réduire au maximum la durée d'humectation du feuillage.
Eliminer les déchets de culture ou les enfouir
Éviter le retour sur la même parcelle avant au minimum 3 ans.
Choisir des variétés peu sensibles
Punaise ornée : Risque faible
Piéride : Risque nul
Teigne : Risque nul
Noctuelle défoliatrice: Risque faible à moyen
Mycosphaerella : Risque faible à moyen
Alternaria : Risque faible à moyen
Hernie : Risque nul
Plantes atteintes : 20 % avec pression moyenne
Plantes atteintes : 10 à 15 % avec pression faible, sur les 2/3 des parcelles
Plantes atteintes : 3 à 10 % sur 2/3 des parcelles
Plantes avec présence : 5 %
Plantes atteintes : de 2 à 50 % principalement sur choux frisé, choux fleur et brocolis
Plantes atteintes : 60 à 75 %, sur ½ des parcelles principalement sur choux frisé, choux fleur et brocolis
Plantes atteintes : 20 % sur 1/4 des parcelles
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°6 : Le coin diagnostic : punaise ornée sur choux
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°6 : Le coin diagnostic : mouche des crucifères sur choux
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : grande Altise d'hiver du colza sur choux
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : petite altise ou altise des crucifère sur choux
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : aleurode sur choux
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : altise noire des crucifères (Phyllotreta atra)
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : piéride du choux (Pieris brassicae)
Lien vers BSV N°13, Le coin diagnostic : piéride de la rave sur chou
Puceron cendré sur choux
Caroline BACONNIER de l'EPLEFPA Terre d'horizon
Altise Une présence généralisée difficilement contrôlable en l'absence de filet. Des attaques sur jeunes plants peuvent faire avorter les bourgeons principaux.
La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Couvrir au moins pendant les 3 à 4 premières semaines de culture avec un film insect-proof, du repiquage au stade 5- 6 feuilles le plant, car il est sensible aux altises. Choisir un voile de forçage lorsque les températures maximales sont inférieures à 25 °C ou un filet anti-insecte à maille Tricot de 660 à 750 m (17g/m²) si les températures maximales sont supérieures à 25 °C.
Punaises Elles se développent particulièrement par temps chaud et sec. La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Fractionner l'irrigation La lutte directe bio-contrôle ou biologique Aucune
Noctuelles Les mesures prophylactiques Aucune La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Pose de filets anti-insectes, à installer sur cultures avant l'arrivée des premiers adultes.
Intervention possible dès éclosion avec un produit à base de Bacillus Thuringiensis, qui agit sur les jeunes chenilles par ingestion, le matin sur la rosée. Etant photosensibles et lessivables, il est important de l'appliquer lors de journées couvertes ou en soirée et en dehors des pluies.
Pucerons La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Régulation naturelle par les auxiliaires présents
Protection par film insect-proof de type filet anti-insecte à maille Tricot de 660 à 750 m (17g/m²).
Aleurodes La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Huile essentielle d'orange douce donne de bons résultats. Les variétés à port dressé et à croissance rapide permettent l'optimisation de cette protection.
Les mesures prophylactiques
Eliminer les déchets de cultures de choux précédents, qui favorisent la présence des teignes adultes.
Contrôle des adventices de la famille des crucifères, qui favorisent la présence des teignes adultes. La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Pose de filet anti-insectes, à installer sur cultures avant l'arrivée des premiers adultes.
Intervention possible dès éclosion avec un produit à base de Bacillus thuringiensis, qui agit sur les jeunes chenilles par ingestion, le matin sur la rosée.
Les mesures prophylactiques :
Eviter les rotations courtes entre brassicacées
Utilisation de semences saines et certifiées
Tenir compte de la sensibilité variétale ou du type " Choux rouge " très sensibles au Xanthomonas.
Réduire la fréquence d'arrosage (moins d'arrosage, mais augmenter la dose), intervenir plutôt le matin. La lutte directe bio-contrôle ou biologique Aucune La lutte directe en culture biologique
Les parcelles peuvent être protégées préventivement en intervenant avant un risque de pluie avec du Hydroxyde de cuivre à 2 kg/ha si pendant les 24 h qui suivent la température est supérieure 10°C ou si non avec du Sulfate de à 4 kg/ha. A renouveler après 20 mm consécutif ou 25 mm en plusieurs fois de pluie.
Les mesures prophylactiques :
Choix de la parcelle : Utilisez une rotation des cultures de 2-3 ans entre les cultures de brassica sur la même terre. Ne pas replanter sur le même terrain jusqu'à ce que tous les résidus de culture se soient pourris.
Les déchets de culture sont une source de contamination ; il est donc important de recueillir les restes de la récolte, et détruire par compostage ou enfouissement. Où de les broyer et de les enfouir le plus tôt possible après la récolte (chou-fleur d'été, brocoli, romanesco), par labour.
Les variétés n'ont pas la même sensibilité à la maladie : privilégier autant que possible les variétés les moins sensibles.
Altise : Risque nul
Puceron : Risque faible
Mouche des semis : Risque nul
Pégomyies : Risque faible
Noctuelle : Risque faible
Fonte des semis : Risque nul
Mildiou : Risque nul
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°5 : Pegomyie sur épinard
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : Fonte de semis sur épinard (Fusariose)
Noctuelles La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Intervention sur stade jeune avec un produit à base de Bacillus thuringiensis, qui agit sur les jeunes chenilles par ingestion, le matin sur la rosée
Fonte des semis Les mesures prophylactiques
4 ans minimum entre deux chénopodiacées pour lutter contre le Pythium
Le pH optimum pour les légumes est compris entre 6,3 et 7 pour réduire notamment le mauvais développement racinaire sur épinard
Puceron : Risque nul
Pégomyie : Risque faible
Cercosporiose : Risque moyen à fort, mais en baisse
Val de Saône & Côtière
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : charançon sur blette (Lixus junci)
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : pyrale sur blette
Lien vers BSV N°11, Le coin diagnostic : Punaise Coreus marginatus sur blette
Cercosporiose : Eviter l'humidité sur le feuillage Les mesures prophylactiques
Choisir des variétés peu sensibles
Eviter l'excès d'azote
Ne pas augmenter trop les densités de semis
Séparer géographiquement les différents lots de semis (à minima saison et conservation)
Effectuer des rotations assez longues entre deux blettes.
Puceron : Risque nul
Altise : Risque nul
Cercosporiose : Risque moyen
Lien vers le coin diagnostic du BSV N°6, Le coin diagnostic : altises sur betterave rouge
Lien vers BSV N°11, Le coin diagnostic : Cercosporiose sur betterave
Cercosporiose / Ramulariose Les mesures prophylactiques
Choisir des variétés peu sensibles
Eviter l'excès d'azote
Ne pas augmenter trop les densités de semis
Séparer géographiquement les différents lots de semis (à minima saison et conservation)
Effectuer des rotations assez longues entre deux betteraves
Mouche de l'oignon : Risque moyen. Le vol de printemps a été assez important. Celui d'automne devrait être d'importance équivalente
Pupe
Adulte
Œuf
Larve
Irrigation : Il est important de maintenir une irrigation régulière pour que les oignons arrivent au bout de leur cycle.
Thrips : faible incidence Les mesures prophylactiques
Choix de la parcelle : pas de précédent direct et de parcelles voisines en allium en année n-1.
Les sols très humides ou très secs gênent la nymphose.
La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Les pluies ou les irrigations régulières peuvent permettre de lessiver les individus et contrôler la pression présente. Bassinage de 1.5 mm 3 fois par jour (11 heures, 14h30, 18h)
Aeolothrips intermedius a besoin dans son régime alimentaire de protéines florales en plus de celles procurées par ses proies habituelles, des larves de thrips, pour assurer sa reproduction. L'adulte consomme des tissus floraux pour atteindre sa maturité sexuelle, ceci sur des arbres et des plantes herbacées, avec une préférence pour les légumineuses. Les larves ont un comportement essentiellement prédateur.
Mouche de l'oignon : Favoriser les insectes auxiliaires (carabes) par le maintien des haies et l'utilisation raisonnée des produits phytosanitaires.
Les mesures prophylactiques :
L'éloignement des parcelles d'une année sur l'autre et une plantation pas trop précoce sont les premiers leviers de lutte contre ce ravageur.
Rouille : Risque faible à moyen
Graisse : Risque faible
Mildiou : Risque faible
Momie de puceron sur poireau Caroline BACONNIER de l'EPLEFPA Terre d'horizon
2 % de plantes atteintes avec piqûres
Plantes atteintes : 30 % avec 1 % surface foliaire atteinte
Plantes atteintes : 80 % avec 5 % surface foliaire atteinte
Plantes atteintes : 100 % avec >10 % surface foliaire atteinte
Plantes atteintes : 25 %
Plantes atteintes : 2 à 5 % avec 1 tâche en moyenne par plante sur 2/3 des parcelles
Plantes atteintes : 10 % avec 1 tâche en moyenne par plante, sur 1/3 des parcelles
Lien vers BSV N°10, Le coin diagnostic : Noctuelle terricole sur poireau
Lien vers BSV N°11, Le coin diagnostic : Teigne sur poireau
Lien vers BSV N°13, Le coin diagnostic :Thrips tabaci sur poireau
Lien vers BSV N°3, Le coin diagnostic : Mineuse Phytomyza sur poireau
Feuilles : taches de tailles irrégulières allongées, d'abord blanches, se recouvrant de fructifications rosâtres puis noirâtres taches en losanges en partie centrale brun foncé. Les lésions s'agrandissent et peuvent être couvertes de spores noires et pulvérulentes.
A la récolte : grosse tache marron sur le fût.
Feuille : pustules brunes orangées, fendues dans le sens des nervures sur les deux faces des feuilles. Les feuilles de la base sont d'abord contaminées.
Pustules brunes orangées Jean-Daniel FERRIER Chambre d'Agriculture de l'Ain
Le conseil alternatif ou bio contrôle Thrips Les mesures prophylactiques
Choix de la parcelle : pas de précédent direct et de parcelles voisines en allium en année n-1.
Les sols très humides ou très secs gênent la nymphose.
La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Les pluies ou les irrigations régulières peuvent permettre de lessiver les individus et contrôler la pression présente. Bassinage de 1.5 mm 3 fois par jour (11 heures, 14h30, 18h).
Utilisation de desséchants (dessiccation de la cuticule des insectes à corps mous), comme l'huile essentielle d'orange douce à 60 g/l.
Aeolothrips intermedius a besoin dans son régime alimentaire de protéines florales en plus de celles procurées par ses proies habituelles, des larves de thrips, pour assurer sa reproduction. L'adulte, consomme des tissus floraux pour atteindre sa maturité sexuelle, ceci sur des arbres et des plantes herbacées, avec une préférence pour les légumineuses. Les larves ont un comportement essentiellement prédateur.
Des modalités de coupe ou fauchage des poireaux (15 cm de feuilles coupées) après le pic d'activité, afin de stopper la migration de la larve descendant dans la feuille, ont montré une certaine efficacité.
Le microclimat est la seule modalité permettant d'assurer une protection quasi-totale contre la mouche.
La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Adapter au mieux la fertilisation aux besoins, L'alternaria est une maladie de faiblesse, qui se développe préférentiellement sur les sujets affaiblis (veine de mauvais sol, lorsque le sol a été remué en profondeur, )
Opération culturale : Eviter d'arroser le soir.
Les mesures prophylactiques
Choix de variétés peu sensibles
Eviter les arrosages répétés La lutte directe en culture biologique
Une protection préventive à base de cuivre contre mildiou et bactériose pourra avoir un effet secondaire sur la rouille. Sulfate de cuivre à 5 kg/ha, 2 à 3 traitements à 10 15 jours d'intervalle et selon les précipitations.
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Lien vers BSV N°5, Le Coin diagnostic : Cicadelle verte (Cicadella viridis)
Lien vers BSV N°5, Le Coin diagnostic : Doryphore sur pomme de terre
Lien vers BSV N°8, Le Coin diagnostic : Alternariose sur pomme de terre
La lutte directe en culture biologique
Eviter les stress nutritionnels ou hydriques activant une sénescence accélérée de la plante. L'alternaria est un champignon de faiblesse qui se développe en conditions assez chaudes. Si l'alimentation minérale est suffisante, cette maladie aura peu d'incidence sur les rendements et elle n'a pas d'incidence sur la qualité des tubercules.
Altise : Risque nul
Tenthrède : Risque nul
Bactériose : Risque nul
Mildiou : Risque faible à moyen, sur radis
Pupe
Adulte
Œuf
Larve
Modélisation de la mouche : année 2018 en bleu et 2019 en rouge.
Navet Plaine du Forez et mont du lyonnais
Plaine de l'Isère et vallée du Rhône
Val de Saône & Côtière
Navet
Radis noire
Les mesures prophylactiques
Pratiquer une rotation de longue durée > 5 ans La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Couvrir les cultures avec un filet anti-insectes, dès la plantation.
Pucerons : Risque nul
Thrips : Risque nul
Punaise : Risque faible à moyen
Oïdium : Risque faible à moyen
Cladosporiose : Risque nul
Mildiou : Risque nul
Virose : Risque faible
Le conseil alternatif ou bio contrôle Oïdium La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Traitement possible si nécessaire avec du Soufre micronisé, ou du bicarbonate de potassium ou de l'Huile essentielle d'orange douce ou de l'Ampelomyces quisqualis. Une protection préventive est possible avec Gliocladium catenulatum ou Bacillus subtilis.
Virose
Choisir les variétés de courgettes pourvues de la résistance IR : CMV, ZYMV, WMV
Pucerons : risque nul
Thrips : risque nul
Oïdium : risque faible à moyen
Virose : risque faible
Prévoir les semis de Calendula officinalis comme plante refuge. A implanter à proximité d'une culture de tomates, l'arrachage de ces dernières à l'automne (après séchage sur pieds) entraine la migration des auxiliaires vers les soucis.
Depuis plusieurs années la punaise Nezara viridula est observée dans les cultures légumières de notre région. Elle est très active sous les tunnels, mais aussi de plus en plus en plein champ. En 2019, le BSV fait état de six punaises phytophages dans les cultures légumières, sur notre région.
Plusieurs projets travaillent déjà sur le problème des punaises phytophages : Un projet Ecophyto porté par le CTIFL (IMPULsE) est en cours de réalisation sur la période 2017-2020. Deux projets Européens sont déposés ou en cours de dépôt pour 2020 sur les punaise phytophages.
En 2017, dans la Drôme, et confirmé pour cette année dans l'Ain, l'hyménoptère Trissolcus basalis, parasite des œufs de Nezara, est présent en Rhône-Alpes. Cette année, il a été observé aussi une mouche de la famille des Tachinidae, qui pond des oeufs sur les adultes de Nezara
(les larves provoquent la mort de la punaise). Nous souhaitons évaluer au sein des exploitations maraîchères, la nuisance de cette punaise et les facteurs qui influencent sa présence plus ou moins importante dans les exploitations.
Vous pouvez répondre à l'enquête en ligne à l'adresse ci-dessous, afin de nous aider à mieux comprendre cette espèce. https://framaforms.org/enquete-punaise-nezara-viridula-1565344869
Auxiliaires :
Lien vers BSV N°10, Le coin diagnostic : Cécidomyie
Lien vers BSV N°11, Le coin diagnostic : Coccinelle Stethorus punctillum
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Phytoseiulus persimilis
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Scolothrips sp.
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Staphylins - Oligota sp.
Lien vers BSV N°13, Le coin diagnostic : Amblyseius sp
Bio-agresseur :
Lien vers BSV N°13, Le coin diagnostic : Punaise diabolique
Pucerons : Risque moyen
Oïdium : Risque moyen
Val de Saône & Côtière
Puceron La lutte directe bio-contrôle
Repérer les premiers foyers et les marquer. Dès le repérage des premiers foyers, il est souhaitable de détruire manuellement les premières colonies par arrachage des plants (ou des feuilles) contaminés. Cette opération devra être réalisée avant l'apparition d'une nouvelle génération de pucerons ailés (avant dissémination).
Favoriser les auxiliaires naturels
Oïdium La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Effeuillage : coupe du fruit et de la feuille postérieure.
Traitement possible si nécessaire avec du soufre mouillable à 6,0 kg/ha (attention au risque de tâcher la plante), ou du bicarbonate de potassium à 3 kg/ha en fin de journée ou par temps couvert, ou de l' huile essentielle d'orange douce à 4,0 l/ha pour une concentration de 0.6 % maxi à appliquer sur feuillage sec (le mode d'action " déshydratante ", asséchante et desséchement de la cuticule des insectes ou la paroi des champignons, à forte dose il a le même effet sur l'épiderme des feuilles/défanant.). Une protection préventive est possible avec le champignon Gliocladium catenulatum à 0,25 à 1 g/m² ou Bacillus subtilis à 2 kg/ha.
Thrips : Risque faible, très variable
Acarien : Risque faible à moyen, très variable
Punaise : Risque moyen
Oïdium : Risque moyen
Botrytis : Risque nul
Mildiou : Risque faible
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : Thrips sur concombre
Lien vers BSV N°11, Le coin diagnostic : Mildiou Concombre
Lien vers BSV N°11, Le coin diagnostic : Anthracnose sur concombre
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Acariens Tétranyques sur concombre
Le conseil alternatif ou bio contrôle Puceron La lutte directe bio-contrôle
..Repérer les premiers foyers et les marquer. Dès le repérage des premiers foyers, il est souhaitable de détruire manuellement les premières colonies par arrachage des plants (ou des feuilles) contaminés. Cette opération devra être réalisée avant l'apparition d'une nouvelle génération de pucerons ailés (avant dissémination).
..Favoriser les auxiliaires naturels, introduire des coccinelles collectées par ailleurs.
Oïdium La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Effeuillage : coupe du fruit et de la feuille postérieure.
Traitement possible si nécessaire avec du soufre mouillable à 6,0 kg/ha (attention au risque de tâcher la plante), ou du bicarbonate de potassium à 3 kg/ha en fin de journée ou par temps couvert, ou de l' huile essentielle d'orange douce à 4,0 l/ha pour une concentration de 0.6 % maxi à appliquer sur feuillage sec (le mode d'action " déshydratante ", asséchante et desséchement de la cuticule des insectes ou la paroi des champignons, à forte dose il a le même effet sur l'épiderme des feuilles/défanant.). Une protection préventive est possible avec le champignon Gliocladium catenulatum à 0,25 à 1 g/m² ou Bacillus subtilis à 2 kg/ha.
Acariens Les mesures prophylactiques
Même si on ne relève pas encore de grosses attaques la présence de petits foyers justifie la mise en place du bassinage, du blanchiment des tunnels, afin d'augmenter hygrométrie sous abris et l'efficacité de la lutte biologique.
Désherbage minutieux des abris, augmenter l'hygrométrie sous abris. La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Supprimer les foyers en effeuillant.
La lutte directe par traitement est possible bien que d'une efficacité limitée avec des produits à base d'huile de Colza estérifiée ou intervenir avec un produit à base de sel potassique.
La lutte directe par traitement est possible des sels potassique d'acide gras, Dose de produit 1-2%. Possibilité également d'utiliser du Maltodextrine, à 25 ml/l d'eau. Attention pour le moment ce produit n'est pas utilisable en Bio (démarche en cours). Il faut intervenir en période sèche et ensoleillée.
Thrips : Risque nul
Acarien : Risque faible à moyen
Punaise : Risque moyen
Verticilliose : Risque faible
Botrytis : Risque faible
Coulure des fleurs : Risque nul
Plaine du Forez et mont du lyonnais
Plantes avec présence : 1 %
Plante : 2 % avec <10 individus ou quelques individus avec quelques piqûres
Plante : 2 % avec 1 chancre sur tige ou 1 feuille avec au moins une tâche
Plante : 2 % avec <10 individus isolés
Plantes touchées : 5 % avec 1 à 3 individus
Plante : 30 % avec 10 à 100 individus ou au moins 1 colonie sur 2 à 3 feuilles
Plante : 75 % avec de 10 à 100 individus ou dégâts isolés Présence faible à moyenne
Plantes touchées : 10 % avec 1 à 3 individus à tous les stades
Lien vers BSV N°3, Le coin diagnostic : Acariens parasitoïdes de plein champ et sous abris
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : Lygus sp. sur aubergine
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : punaise des baies sur aubergine (Dolycoris baccarum)
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : Virose sur aubergine
Lien vers BSV N°10, Le coin diagnostic : Verticilliose sur aubergine
Des dégâts conséquents peuvent être générés par Lygus en entrainant la chute des fleurs. La lutte directe biocontrôle ou biologique
Ramasser et écraser adultes, larves et pontes pour essayer de réguler au maximum la population.
Puceron La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Favoriser les auxiliaires naturels, introduire des coccinelles collectées par ailleurs.
L'usage d'un acide gras ou de l'huile de colza sur foyers peut permettre d'en réduire le développement. Bien contrôler vos plants avant plantation.
Acariens Les mesures prophylactiques
Nettoyage hivernale des abris, désherbage minutieux.
Même s'il n'y a pas de grosses attaques la présence de petits foyers justifie la mise en place du bassinage, du blanchiment des tunnels et de la lutte biologique. La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Elimination mécanique des foyers
La lutte directe par traitement est possible bien que d'une efficacité limitée avec des produits à base d'huile de Colza estérifiée.
Thrips Souvent présents sur les feuilles basses ils sont généralement peu préjudiciables. Les dégâts directs sont observés à partir de 4 thrips sur fleur. La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Sur les plantes contre les larves et les adultes : favoriser les punaises prédatrices polyphages (Macrolophus pygmaeus survie bien sous abri, Dicyphus errans à l'état naturel, Orius sp à l'état naturel)
Punaises Nezara et Lygus Des dégâts conséquents peuvent être générés par Lygus en entrainant la chute des fleurs. La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Ramasser et écraser adultes, larves et pontes pour essayer de réguler au maximum la population.
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : virus TSWV sur poivron
Puceron : Evaluer la présence des auxiliaires, compléter si nécessaire avec une faune auxiliaire indigène (coccinelles, syrphes, punaises prédatrices, momies non écloses).
Ramasser et écraser adultes, larves et pontes pour essayer de réguler au maximum la population.
Pucerons : Risque faible à moyen
Tutta absoluta : risque moyen
Mouche mineuse : Risque faible
Thrips : Risque nul
Acariose bronzée : Risque faible à moyen
Punaise : Risque moyen à fort
Noctuelle : Risque moyen
Alternariose : Risque moyen à fort
Cladosporiose : Risque moyen à fort
Mildiou : Risque faible à moyen
Plantes avec présence : 5 %
Plantes : 20 % avec 10 à 100 individus ou plusieurs individus avec beaucoup de piqûres
Plantes : 30 % avec quelques feuilles avec 1 tâche ou 2 à 3 chancres
Plantes : 30 % avec la plupart des feuilles touchées avec plus de 10 % de surface attaquée
Plante : 25 % avec <10 individus isolés
Absence
Plantes touchées : 20 % avec >10 de plantes avec des symptômes marqués du feuillage
Plantes touchées : 75 % avec >10 de plantes avec des symptômes marqués du feuillage
Plante : 15 % avec quelques tâches par feuille sur plus de 3 feuilles
Plante : 10 % avec quelques tâches par feuille sur plus de 3 feuilles
Plante : 5 % avec quelques tâches par feuille sur plus de 3 feuilles
Plante : 15 % avec 10 à 100 individus ou au moins 1 colonie sur 2 à 3 feuilles
Plante : 5 à 8 % avec de 10 à 100 individus ou dégâts isolés
Plantes touchées : 25 % avec quelques plantes avec un dessèchement marqué du feuillage ou un flétrissement de la plante entière
Plantes touchées : 5 % avec quelques plantes avec un dessèchement marqué du feuillage ou un flétrissement de la plante entière
Lien vers BSV N°5 : le Coin diagnostic : Botrytis sur tomate
Lien vers BSV N°6 : Le coin diagnostic : brulures du froid ou aux gelées sur tomate
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : virose TSWV sur tomate
Lien vers BSV N°7, Le coin diagnostic : moelle noire sur tomate
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : Tuta absoluta sur tomate
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : punaise miridae sur tomate (Macrolophus pygmaeus)
Lien vers BSV N°8, Le coin diagnostic : Lygus sp. sur tomate
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : maladie des racines liégeuses ou Corky root sur tomate
Lien vers BSV N°9, Le coin diagnostic : Noctuelle des fruits sur tomate (Heliocoverpa armigera)
Lien vers BSV N°10, Le coin diagnostic : Punaise verte du soja ou Nezara viridula sur tomate
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Acariose bronzée sur tomate
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Cladosporiose sur tomate
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Macrosiphum sur tomate
Lien vers BSV N°12, Le coin diagnostic : Acariens sur tomate
Lien vers BSV N°13, Le coin diagnostic : Nématodes sur tomate
Lien vers BSV N°13, Le coin diagnostic : Mildiou sur tomate
Tuta absoluta La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Combinaison des moyens de lutte : lâchers réguliers de parasitoïdes (Macrolophus pygmeus et Trichogramma achae) et traitements hebdomadaires avec Bacillus Thuringiensis pour lequel il semble opportun d'alterner les souches (souche Kurstaki avec la souche Aizawai).
La confusion sexuelle grâce au diffuseur de phéromone peut compléter la maîtrise du ravageur.
Punaises Pas d'intervention possible.
Cladosporiose Les mesures prophylactiques
Utiliser des variétés résistantes La lutte directe bio-contrôle ou biologique
Soigner l'aération, éviter le bassinage, tailler et sortir les feuilles atteintes.
Mildiou et alternaria : aérer au maximum les abris car les atmosphères confinées sont très favorables à ces trois champignons. Réaliser un effeuillage de la base des plantes. Qui permettra d'éliminer les premières feuilles attaquées, favorisera l'aération des parties basses des plantes.
Botrytis : Aérer au maximum les abris car le Botrytis aime les atmosphères confinées. Réaliser un effeuillage de la base des plantes qui permettra d'éliminer les premières feuilles attaquées, et favorisera l'aération des parties basses des plantes.
Pucerons : pas de méthode alternative connue.
Pas d'intervention.
Puceron : Risque faible à moyen
Noctuelle : Risque faible
Zone Alpine
Pas d'intervention.
Pas d'intervention.
Pas d'intervention.
Pas d'intervention.
Pour en savoir plus, EcophytoPIC, le portail de la protection intégrée. http://cultures-legumieres.ecophytopic.fr/cultures-legumieres Toute reproduction même partielle est soumise à autorisation
Directeur de publication : Gilbert GUIGNAND, Président de la Chambre Régionale d'Agriculture Auvergne-Rhône-Alpes
Coordonnées du référent : Cécile BOIS (CRAAURA) cecile.bois@aura.chambagri.fr 04 73 28 78 34
Animateur filière/Rédacteur : Jean-Daniel FERRIER CA01 jean-daniel.ferrier@ain.chambagri.fr
À partir d'observations réalisées par : les Chambres d'Agriculture d'Auvergne-Rhône-Alpes, Coopérative Agricole Bresse Mâconnais, FREDON Auvergne Rhône Alpes et le lycée Horticole de Romans.
Ce BSV est produit à partir d'observations ponctuelles. Il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut pas être transmise telle quelle à la parcelle. Pour chaque situation phytosanitaire, les producteurs de végétaux, conseillers agricoles, gestionnaires d'espaces verts ou tout autres lecteurs doivent aller observer les parcelles ou zones concernées, avant une éventuelle intervention. La Chambre régionale dégage toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs concernant la protection de leurs cultures.
Action pilotée par les ministères chargés de l'agriculture et de l'environnement, avec l'appui financier de l'Agence Française pour la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto.