rédigé par Alexia BARRIER - Chambre d'agriculture des Pays de la Loire
Céréales à pailles
Risque limaces moyen. Risque pucerons faible. Les pucerons restent à surveiller tout l'hiver en particulier si les températures dépassent 12°C.
Colza
Risque agronomique larves d'altises faible ; risque moyen à fort si >5larves/plante
Reconnaissance d'automne
Détail des 3 voies possibles en cliquant ici "
Accéder au site de la Surveillance Biologique du Territoire en cliquant ici
Pucerons : Pour les parcelles à moins d'1 feuille
Pour les parcelles à 2 feuilles et plus
À pondérer selon vos parcelles et vos observations pour les parcelles à 3 feuilles et moins ;
Pour les autres
Larves d'altises :
Pour les colzas à forte biomasse :
Pour les colzas chétifs :
Très bonnes fêtes de fin d'année à tous !
A B O N N E M E N T B S V |
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So mm air e
28 parcelles sont renseignées cette semaine sous VGobs avec la répartition suivante.
1 Loire-Atlantique, 7 Maine-et-Loire, 4 Mayenne, 7 Sarthe et 9 Vendée.
23 blés tendres, 1 blé dur, 3 orges et 1 triticale
Les parcelles du réseau sont actuellement entre les stades germination et début tallage. La parcelle en cours de germination a été semée le 20 novembre et les parcelles en cours de levée entre le 15 et le 20 novembre. Les stades sont parfois hétérogènes au sein des parcelles où les conditions de semis étaient mauvaises.
Suivant les secteurs, les semis sont plus ou moins avancés. En Vendée, environ 80% des parcelles sont semées dans le bocage et la plaine et encore très peu dans le marais. Sur le reste de la région, 80 à 90% des parcelles ont été semées.
Des symptômes d'hydromorphie sont observés avec des jaunissements des céréales.
50%45%40%35%30%25%20%15%10%5% | 11%11%7%7%4%4% | Stades des parcelles de céréales du réseau(en % du total de parcelles de céréales observées)sem 49sem 5044%22%21% | 46% | 11%7%4%0% |
0% | Germinationlevée1 ère feuille étalée | 2 feuilles étalées | 3 feuilles étalées | + de 3 feuillesdébut tallageétalées |
Des dégâts de mouche des semis sont toujours signalés dans une parcelle du réseau de la Sarthe. Des traces de dégâts d'oiseaux sont signalés dans 5 parcelles du réseau. Des dégâts de gibiers sont aussi signalés sur plusieurs parcelles. Quelques taupins sont observés sur 2 parcelles. .
Des limaces grises et noires sont observées sur 10 parcelles du réseau (sur 24 renseignées) avec 1 à 26 limaces/m². Les parcelles concernées sont majoritairement au stade 3 feuilles ou début tallage. La pression limace diminue dans le réseau. Restez vigilants sur les parcelles les moins avancées.
Des dégâts sont signalés sur 2 parcelles sorties de la période de risque limaces (stade début tallage) et sur 2 parcelles au stade 3 feuilles.
Les limaces sont surtout présentes dans les parcelles en non labour mais il y a aussi des captures et des dégâts en parcelles labourées.
La majorité des parcelles de céréales étant toujours en période de risque, le risque limace reste moyen, en particulier pour les parcelles en situation agronomique à risque.
Il est important de surveiller l'évolution des captures et des dégâts dans vos parcelles.
2 types de limaces peuvent être présents : les limaces grises et les limaces noires.
Ce sont les limaces noires qui s'attaquent aux graines. Au moment du semis, le risque limace est donc plus important si présence de limaces noires dans la parcelle.
Soufflet
INRA
Limace grise (Deroceras reticulatum) Limace noire (Arion hortensis)
So mm air e
Quelques conseils pour gérer les limaces dans ses parcelles : 1). Évaluer le risque de présence de populations de limaces dans sa parcelle en utilisant la grille de risque Limace (en cliquant ici) 2). Piéger pour évaluer l'activité des limaces en surface
Après la levée, le piégeage permet de confirmer l'origine des dégâts observés (perte à la levée, dégâts sur feuilles) mais c'est surtout l'observation des attaques sur plantes et leur évolution qui va permettre de décider.
Pour piéger efficacement, il faut :
utiliser un piège qui soit bien plaqué au sol, qui conserve l'humidité et isole des écarts de températures, couvrir au
moins 1 m² avec les pièges et positionner les pièges pas seulement en bordures (premières attaques de limaces, mais aussi à l'intérieur de la parcelle,
faire le comptage le matin (avant les températures trop élevées).
Attention, le niveau de captures est très variable et dépend :
des conditions climatiques ambiantes et sous les pièges : inutile de piéger lorsque le sol est sec en surface
de la durée de mise en place et de l'heure de relevé : idéalement, positionnez le piège le soir et faites le relevé le
lendemain matin
de la répartition des limaces au sein de la parcelle
Préparation fine du sol en surface pour éviter les refuges aux limaces
Soigner le semis pour une levée rapide et un bon démarrage de la culture et ainsi limiter la durée de la phase sensible.
En interculture, les déchaumages successifs perturbent le cycle des limaces ; le broyage fin des résidus et leur répartition homogène réduisent les abris pour les limaces.
Retrouvez plus d'informations sur les limaces
Du semis au stade 3 feuilles
Pas de seuil de risque. C'est l'analyse d'un ensemble de facteurs qui va constituer la prise de décision : évolution des captures et des dégâts, conditions météo, vigueur et stade de la culture, présence d'auxiliaires
Vous pouvez également vous appuyer sur cet arbre d'aide à la décision :
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Les pucerons sont observés sur piège englué dans 1 parcelle du réseau en Maine-et-Loire. Ils ne sont pas observés sur plantes.
Le tableau ci-dessous présente les résultats des captures de la tour à succion du Rheu (Rennes, Bretagne) :
LE RHEU | SEM 44 : du 29/10 au 04/11/2019 | SEM 45 : du 05/11 au 11/11/2019 | SEM 46 : du 12/11 au 18/11/2019 | SEM 47 : du 19/11 au 25/11/2019 | SEM 48 : du 26/11 au 02/12/2019 | SEM 49 : du 03/12 au 09/12/2019 |
METOPOLOPHIUM DIRHO-DUM | 5 | 1 | 1 | 0 | 1 | 0 |
SITOBION AVENAE | 1 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 |
RHOPALOSIPHUM PADI ♀ | 42 | 10 | 5 | 5 | 4 | 2 |
RHOPALOSIPHUM PADI ♂ | 1 | 1 | 0 | 3 | 1 | 0 |
Les captures sont en diminution depuis le 20 novembre.
Les températures actuelles ne sont pas favorables au vol des pucerons.
Le risque pucerons reste pour le moment faible.
Il est cependant important d'observer vos parcelles. En effet, le froid n'a pas été suffisant pour éliminer les pucerons. S'ils sont présents dans les parcelles, leur activité peut reprendre.
Le schéma ci-contre présente les différentes activités des pucerons en fonction des températures .
Quels sont les risques que je prends si j'interviens alors que cela n'était pas nécessaire ?
Développement des résistances aux molécules avec un risque qu'il n'y ait plus de molécules efficaces pour intervenir
contre les pucerons (exemple du colza)
Ma santé : manipuler un produit phytosanitaire en moins, c'est toujours ça de gagné !
Impact sur les auxiliaires des pucerons (syrphes, coccinelles, chrysopes, ) qui peuvent réguler les populations et les
maintenir en dessous de seuil indicatif de risque
Comment observer les pucerons ?
L'observation des pucerons est à effectuer pendant les heures les plus chaudes de la journée. En effet, lorsqu'il fait frais, les pucerons se réfugient à la base des plantes, rendant leur détection plus difficile. Lorsqu'il fait chaud, ils sortent du collet des plantules, ce qui les rend plus visibles.
Si les conditions ne sont pas propices aux observations au champ (vent et pluie), une méthode simplifiée peut être mise en œuvre pour définir la présence ou non de pucerons : prélever une vingtaine de plantes à différents endroits
(traverser la parcelle en diagonale) et les mettre dans un sac plastique transparent, puis placer le sac près d'une source de chaleur. En cas de présence de pucerons, les insectes seront très rapidement visibles sur les parois du sac.
ATTENTION: cette méthode ne permet pas de déterminer le pourcentage de plantes touchées, mais permet au moins de savoir si les pucerons sont présents dans la culture.
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Attention de ne pas confondre les pucerons ailés avec des moucherons ! Observez avec une loupe.
Pucerons ailés Rhopalosiphum padi (à gauche) et Sitobion avenae (à droite).
Source : Encyclop'Aphid INRA
A partir de 1 feuille de la céréale.
A partir de 10% de plantes porteuses d'au moins 1 puceron. Lorsque ce seuil est atteint, un second seuil est fixé : présence de pucerons sur les parcelles pendant plus de 10 jours consécutifs.
CA53
Pucerons ailé et aptères sur Blé.
Aucune cicadelle observée dans le réseau cette semaine.
L'espèce Psammotettix alienus est vectrice de la maladie des pieds chétifs pouvant causer des dégâts. Mais d'autres cicadelles peuvent être observées en parcelles de céréales. Il est nécessaire de déterminer l'espèce présente.
Ces insectes peuvent être observés sur des plaques engluées jaunes
(utilisées pour le suivi de l'arrivée des pucerons)
Entomologie.de
P. alienus : cicadelle vectrice de la maladie des pieds chétifs
So mm air e
12 parcelles sont renseignées cette semaine sous VGobs avec la répartition suivante :
3 Maine-et-Loire, 2 Mayenne, 2 Sarthe et 5 Vendée.
Les stades vont de 7 feuilles (B7) à rosette (9 feuilles et plus). La grande majorité des parcelles a atteint le stade rosette. Sur certaines parcelles des élongations sont observées. Des rougissements de pivot sont signalés dans les zones hydromorphes.
Des pesées ont été réalisées dans 11 parcelles du réseau : 2,45kg/m² en moyenne (2,28kg/m² en 2018).
Stades des parcelles de colza du réseau
(en % du total de parcelles de colza observées)
Des macules de phoma sont toujours signalées dans 7 parcelles du réseau (5 à 100 % des pieds touchés). Hors réseau, en Vendée, des symptômes sont observés sur les étages supérieurs.
La note de résistance végétale pour le phoma concerne le phoma du collet. La présence de symptômes sur feuilles reste peu nuisible et ne signifie pas que la maladie se développera sur collet. À surveiller en sortie d'hiver et en fin de cycle.
CAPDL
Macules de phoma
Le risque phoma est réduit par les pratiques culturales (export des pailles du précédent, limiter les apports d'engrais organique en été, respecter la période de semis conseillée, limiter la densité de semis) et le choix variétal.
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Autres maladies pouvant être visibles à l'automne sans incidence
Cylindrosporiose
Terres Inovia
Symptôme de type brûlure, correspondant à des taches beiges légèrement parcheminées, entourées d'acervules (pustules blanches).
Mycosphaerella
Symptômes de mycosphaerella
CAPDL
Ces maladies ne sont pas signalées dans le réseau cette semaine.
Pour les colzas à forte biomasse
Pour les colzas chétifs
L'observation des larves et leur comptage peut se faire de 2 façons :
Dissection des pétioles des plantes
Méthode Berlèse
Des tests " Berlèse " sont en cours dans le réseau. Les colzas ayant de fortes biomasses, le test est plus long..
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Le tableau ci-dessous présente les résultats des observations larvaires réalisées jusqu'à présent.
Département | Commune | Nombre de larves/plante (Berlèse) | % de plantes avec larves (dissection) | Pesée entrée hiver (kg/m²) |
44 | Soudan | 1 | ||
49 | Montillers | 20% | 3kg/m² | |
49 | Saint Macaire du Bois | 1 | 15% | |
49 | Coron | 0,3 | 5,4kg/m² | |
49 | Concourson | 0 | ||
49 | Neuil sur Layon (semis 09/08) | 1,4 | 1,9kg/m² | |
49 | Neuil sur Layon (semis 30/08) | 4,5 | 0,98kg/m² | |
53 | Nuillé sur Vicoin | 6,5 | 1,3 kg/m² | |
72 | Nogent sur Loir | 58% | 5,8 kg/m² | |
72 | La Milesse | 5 | ||
72 | Fercé sur Sarthe | 1,7 | 70% | 2,5 kg/m² |
72 | Monhoudou | 4 | 1,21 kg/m² | |
85 | Bournezeau | 10% | ||
85 | Les Herbiers | 2,4 | 80% | 1,96 kg/m² |
85 | Corpe | 11 | 90% | 1,37kg/m² |
85 | Fontenay le Comte | 0,3 | ||
85 | Fontenay le Comte | 60 % | ||
85 | Aizenay | 0,2 | ||
85 | La Boissière de Montaigu | 0 | 10% | |
85 | Sigournais | 0 | 1,6 kg/m² | |
85 | Chantonnay | 0,05 |
8
Nombre de parcelles
7
6
5
4
3
2
1
0
<1
entre 1 et 3
entre 3 et 5
>5
So mm air e
Dans certains secteurs hors réseau, des colzas fortement attaqués sont signalés (20 larves /pieds).
Chaque parcelle est unique, il est important de faire vos propres observations et comptages avant de prendre une décision.
Ce sont les derniers stades larvaires qui peuvent migrer au cœur des plantes dans le cas de colzas chétifs, et détruire le bourgeon terminal.
Les larves sont à surveiller en particulier dans les parcelles avec des colzas chétifs. Pour les parcelles où les colzas ont des biomasses importantes, le risque est moyen à fort si plus de 5 larves /plantes sont observées en moyenne.
Soyez particulièrement attentifs aux colzas moins développés pour lesquels le risque est plus important.
Méthode " Berlèse "
Prélever 4x5 plantes en les coupant au niveau du collet, éliminer l'extrémité des feuilles, laver les plantes. Disposer les plantes sur un grillage au-dessus d'un récipient (cuvette jaune pour colza par exemple) dans lequel on met un mélange eau + alcool modifié (50/50). Utiliser 2 récipients si nécessaire. Disposer dans une pièce chauffée (20°C environ) et aérée pour favoriser le dessèchement des plantes.
Les larves présentes se retrouvent dans la solution dans un délai d'une semaine. Si la méthode ne permet pas de détecter le nombre de plantes porteuses d'altises, elle peut confirmer la présence des larves et leur nombre. En cas d'absence de larves lors de ce premier bilan, une vérification ultérieure en cours d'hiver sera nécessaire.
Vidéo :
Reconnaissance et caractéristiques
Les larves d'altises mesurent entre 1,5 et 8 mm, selon leur stade de développement. Elles sont de couleur translucide à blanchâtre.
On doit trouver ces 3 éléments caractéristiques :
Plaque pigmentée brun foncé à l'extrémité postérieure
1 tête brun foncé bien développée
3 paires de pattes thoraciques
Attention, d'autres larves sont encore observées cette semaine sur colza. Il s'agit de larves de mouches mineuses qui creusent des galeries dans les limbes des feuilles. Vérifiez bien les 3 éléments caractéristiques de l'encart ci-dessus pour vous assurer de l'identité des larves que vous observez.
Des analyses de larves faites en Pays de la Loire depuis 2 ans montrent que les populations de grosses altises résistantes aux pyréthrinoïdes sont bien installées sur la région.
So mm air e
Du stade 5-6 feuilles vraies (B5-B6) jusqu'à la sortie de l'hiver.
Il va dépendre du niveau de risque de la parcelle.
Risque moyen à fort :
Méthode Berlèse : 2 à 3 larves par pied
Méthode dissection : 70% des plantes avec présence d'au moins 1 larve
Risque faible : aucun seuil. Les colzas supportent bien plus de 2-3 larves avant de subir des dégâts (ports buissonnants). Sans pouvoir établir de seuil actuellement, on observe qu'en dessous de 10 larves par pied les dégâts sont quasi absents dans ces situations.
Dans les parcelles de céréales, des levées d'adventices sont observées. Ci-dessous, 4 espèces à ne pas confondre.
Identification de la plantule
Lutte agronomique préventive
Pâturin annuel (Poa annua)
Plantule de petite taille
Efficacité nulle ou insuffisante.
Glabre (dépourvue de poils)
Préfoliation pliée
Ligule (prolongement membraneux
Le pâturin annuel peut lever toute l'année et son taux annuel de décroissance est très faible (durée de vie des semences longue)
de la gaine) membraneuse
Limbe parcouru par 2 nervures
centrales bien marquées (traces de ski)
Limbe se terminant en bec à son
Source : infloweb
Jonc des crapauds (Juncus bufonius)
extrémité Feuilles glabres sans oreillettes ni
Rotation avec des cultures de
ligule
Absence de nervure centrale
Couleur vert brillant
n'est pas une graminée
ARVALIS
Source: Arvalis
Vulpie queue-de-rat (Vulpia myruos)
Gaine nettement fendue et parfois
Introduction de cultures d'été
Absence d'oreillettes
Ligule denticulée très courte (0,2-
0,4mm)
Limbe fin et brillant sur la face
Nervures bien visibles sur le limbe
Cils sur le bord du limbe et après
Source : infloweb
Avoine à chapelets (Arrhenatherum elatius)
tallage sur la surface du limbe Graminée vivace à bulbes
Préfoliation enroulée
Eviter les outils à disques qui favorise sa multiplication végétative
Gaine cylindrique
Absence d'oreillettes
Ligule pubescente
Limbe étroit, glabre ou peu velu
INRA
Source : GNIS
Pour plus d'informations : http://www.infloweb.fr ; http://www2.dijon.inra.fr/hyppa/hyppa-f/hyppa f.htm
Trois demi-journées de présentations et d'échanges ont eu lieu en octobre dont 2 pour les filières Grandes Cultures et Polyculture Élevage.
Retrouvez les infos de ces journées, avec les supports présentés ici.
Retrouver les actualités d'Écophyto en Pays de la Loire via l'écho phyto ligérien newsletter, en cliquant sur l'image.
Au sommaire de ce premier numéro : les dernières publications, retour sur la visite du préfet Bisch, le projet CAP sans glypho, témoignages des ingénieurs territoriaux DEPHY.
Retrouvez toute l'actualité de la protection intégrée des cultures en cliquant ici .
Les curseurs de risque utilisés ont pour objectif de synthétiser l'ensemble des informations : observations, période de risque, données météo, modèles, sauf lorsque cela est précisé
1 = risque faible; 2 = risque assez faible; 3 = risque moyen; 4 = risque assez fort; 5 = risque fort
RÉSEAU DE SURVEILLANCE BIOLOGIQUE DU TERRITOIRE 2019 PAYS DE LA LOIRE
Rédacteur : Alexia BARRIER - CAPDL - bsv-gc@pl.chambagri.fr
Directeur de publication : Claude COCHONNEAU - président de la Chambre régionale d'agriculture des Pays de la Loire
Groupe technique restreint : Arvalis, Chambre d'agriculture 53, Chambre d'agriculture des Pays de la Loire, Coop de France Ouest, Négoce Ouest, Terres Inovia
Observateurs : Agriculteurs, Agrial, AgriNégoce, AMC, Arvalis, Bernard Agriservice, Brouard AgroSolutions, CAM, CAPL, CAVAC, CA 53, CAPDL, CER France 53 et 72, Coop Herbauges, GEVES, Hautbois SAS, Pelé Agri-Conseil, SAS Jeusselin, SCPA, Soufflet, Terrena.
Ce bulletin est produit à partir d'observations ponctuelles. S'il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut être transposée telle quelle à la parcelle. La CAPDL dégage donc toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs pour la protection de leurs cultures et les invite à prendre ces décisions sur la base des observations qu'ils auront réalisées sur leurs parcelles.
Action pilotée par les ministères chargés de l'agriculture, de l'écologie, de la santé et de la recherche avec l'appui financier de l'Agence française pour la biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Écophyto .