Poireau
... p 1 Salade
..................................................................... p 2 Chou
.. p 3 Carotte-céleri-persil . p 4 Fraise
.. p 5 Tomate
.. p 6
ml.blanc.fredonbn@wanadoo.fr
Directeur de publication :
Président de la Chambre Régionale d'Agriculture de Normandie
Le nombre de captures de thrips est stable et faible cette semaine sur la parcelle du Calvados.
Observation des plantes : La présence de thrips sur les plants reste variable en Haute-Normandie (de 0 à 100 % selon les parcelles observées). Pour le Calvados, cette semaine également, l'eau présente sur le feuillage et au cœur de la plante n'a pas permis l'observation des populations de thrips.
Evolution du risque : des températures supérieures à 13°C sont favorables à l'augmentation des populations de ce ravageur. Cependant, les averses limitent leur vol.
Observation des plantes : Aucune teigne n'a été observée sur l'ensemble des secteurs géographiques.
Evolution du risque : Evolution à suivre
A l'inverse de la semaine dernière, aucune piqûre de Phytomyza gymnostoma n'est présente sur les plants de ciboulette exposés dans une parcelle de poireau en Haute-Normandie.
Evolution du risque : Evolution à suivre
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Il est signalé la présence de rouille sur 10 % des plants d'une parcelle en Haute-Normandie. Les pustules se situent sur les vieilles feuilles. Par rapport aux semaines précédentes, la maladie est stable. En revanche, aucune présence de rouille n'a été observée dans le Calvados.
Evolution du risque : cette maladie est favorisée par un temps doux et humide.
En Haute-Normandie, la présence de foyers de pucerons Nasonovia ribis-nigri est observée sur des laitues de façon hétérogène selon les parcelles (de 0 à 30 % des laitues ont la présence de ces pucerons). Leur nombre est également variable (de quelques individus jusqu'à d'importantes colonies). Aucun puceron n'a été observé dans le Calvados.
Relevé des captures : Depuis plusieurs semaines, les captures de noctuelle sont faibles.
Observation : Aucune noctuelle n'a été notée sur les parcelles du réseau.
Evolution du risque : Evolution du risque : avec la baisse des températures, la pression des chenilles diminue, surveillez néanmoins leur présence.
La maladie s'étend désormais sur 100 % des plants de laitues de la parcelle signalée la semaine dernière dans le Calvados. Ces laitues sont au stade récolte. Quelques taches sont observées sur deux parcelles en Haute-Normandie (de 5 à 20 % des plants sont touchés par le mildiou).
Evolution du risque : ce champignon apprécie les périodes de temps frais, humide et nuageux.
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Noctuelle du chou (Mamestra brassicae)
Nombre total de papillon par parcelle
Depuis plusieurs semaines les captures de noctuelles sont nulles.
Observation : Aucune présence d'adulte, de chenille ou d'œuf n'est à signaler dans le Calvados et en Haute-Normandie.
Evolution du risque : avec la baisse des températures, la pression des chenilles diminue, surveillez néanmoins leur présence.
Calvados : Les foyers de pucerons cendrés signalés la semaine dernière sont stables. De nombreux pucerons sont parasités. Quelques pucerons verts et parasités ont été observés sur les vieilles feuilles dans 3 parcelles.
Haute-Normandie : La présence de pucerons verts ou parasités sur les vieilles feuilles de choux est également signalée sur 0 à 50 % des plants selon les parcelles observées. Les colonies sont peu importantes.
Evolution du risque : à surveiller, notamment les foyers de pucerons cendrés qui peuvent être présents sur ou bien à l'intérieur des pommes lors de la récolte.
Calvados : On observe une baisse du nombre d'aleurodes sur les choux de Milan. La présence d'aleurodes (1 à 2 adultes par plant) est notée sur la quasi-totalité des choux.
Haute Normandie : La situation est similaire en Haute-Normandie. Il est signalé la présence de quelques aleurodes jusqu'à une dizaine par plants en fonction des parcelles.
Evolution du risque : les aleurodes apprécient particulièrement un temps chaud et sec.
La maladie n'a pas évolué cette semaine dans le Calvados et en Haute-Normandie.
Evolution du risque : cette maladie se développe en conditions humides quelle que soit la température.
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Calvados : Les captures sur la parcelle de céleri sont en baisse mais restent assez fortes par rapport aux semaines précédentes. Les captures sur parcelles de carotte sont également en baisse. Le nombre de mouches piégées reste nul au sud de Caen.
Evolution du risque : à suivre
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Haute-Normandie : la parcelle de persil enregistre cette semaine une baisse des captures. Touefois, elles restent importantes. On note également une lègère baisse des piégeages en Vallée de Seine. Il n'y a pas de données pour les captures sur parcelles de carotte au nord de la Seine-Maritime cette semaine.
Evolution du risque : à suivre.
Des mines avec présence de larves sont observées en Haute-Normandie sur 100 % des plants de céleri.
Evolution du risque : à suivre, notamment en parcelle de céleri branche.
Cette semaine également, il n'y a pas de présence de la maladie dans le Calvados et en Haute-Normandie.
Evolution du risque : l'eau est indispensable à la germination des spores et les températures favorables se situent autour de 20°C.
Il est signalé la présence de sclérotinia sur 10 % des plants de céleri d'une parcelle en Haute-Normandie.
Le développement de la maladie est favorisé par un temps doux, humide et une végétation abondante.
Suivi : Calvados : 2 parcelles sous abri
Cette semaine, une seule parcelle a été suivie. Le nombre de thrips observés reste faible et stable cette semaine dans la parcelle de fraise des bois suivie.
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Evolution du risque : à surveiller car les conditions climatiques sous abri sont toujours favorables à cet insecte.
Des foyers d'acariens sont notés dans les deux parcelles observées.
Evolution du risque : à surveiller, car les conditions climatiques actuelles sous tunnels sont favorables à ce ravageur.
La maladie est principalement observée sur les fruits.
Evolution du risque : cette maladie apprécie l'alternance de journées chaudes et de nuits fraîches.
" Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l'appui financier de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto 2018 "