La floraison est engagée et la chute des pétales s'amorce pour les cultures les plus avancées, marquant le début de la période de risque de contamination sclérotinia. Eventuelle présence du Charançons des siliques à surveiller régulièrement.
Semis et levées en cours. Maintenir la surveillance vis-à-vis des limaces et des oiseaux.
Blé Stade entre 1 nœud et dernière feuille Septoriose en progression la semaine prochaine.
Orge Pas d'évolution depuis la semaine dernière, les maladies restent discrètes. Les parcelles d'altitude sont sous la neige.
Triticale
Développement des triticales ainsi que de certaines maladies : rynchosporiose, septoriose et microdochium.
15 parcelles parmi les 22 actuellement déclarées dans le réseau Auvergne ont fait l'objet d'observations en ce début de semaine, du 29 au 30 avril 2013.
La météo de la semaine a été particulièrement contrastée avec des journées estivales suivies de températures froides accompagnées de fortes précipitations, quasi neigeuses jusqu'en plaine, sur des cultures observées toutes en fleurs, dont les stades se répartissent ainsi :
- 2 parcelles (13 %) au stade F1 (premières fleurs ouvertes sur au moins 50 % des plantes)
- 7 parcelles (47 %) au stade F2 (nombreuses fleurs ouvertes - allongement de la hampe florale) qui présente les toutes premières chutes de pétales,
- 5 parcelles (33 %) au stade G1 (chute des premiers pétales, avec une longueur des 10 premières siliques - les plus basses - de la hampe principale inférieure à 2 cm),
- 1 parcelle (7 %) au stade G2 (la floraison se poursuit, les 10 premières siliques de la hampe principale ont une longueur compris entre 2 et 4 cm).
Bulletin édité sous la responsabilité de la Chambre Régionale d'Agriculture d'Auvergne, rédigé par le Cetiom, Arvalis, ,le CTBL et les Chambres d'Agriculture de l'Allier, de la Haute-Loire, du Puy-de-Dôme en collaboration avec la Chambre d'Agriculture du Cantal, les Ets Cassier, Limagrain, Ets Chassin, Jeudy SA, Sica Bb, Sarl Bastin, les lycées de Marmilhat, Neuvy, Durdat-Larequille et Le Breuil/ Couze, Ets Combronde, Tardif, Tivagrain, Phytosem, Descreaux, Dodat, Coopaca, Thivat Venuat, Fredon, Agrisudest Centre, Altitude, Equation, Coop Eurea, SAS Trescarte, Agri Centre, le Ceta Val de Morge, le Ceta Limagne, Val Limagne.coop et des agriculteurs.
STADE F1 50% des plantes avec au moins 1 fleur ouverte
STADE G1 10 premières siliques formées < 2 cm
Il est souhaitable de bien repérer le stade F1 (50 % des plantes présentant au moins 1 fleur), dont la date d'acquisition est variable d'une parcelle à l'autre en fonction de son contexte et de la précocité floraison de la variété cultivée, pour pouvoir anticiper l'apparition du stade G1 (6 à 12 jours plus tard, soit un cumul de100 degrés jours en base 0) qui marquera le début de sensibilité aux contaminations sclérotinia.
Charançons des siliques Des captures sont à nouveau signalées dans les pièges sur végétation de 5 parcelles, mais le relevé des cuvettes n'est plus systématique. Toutefois la présence dans les cuvettes n'est qu'un indicateur de vol, l'évaluation du risque devant être faite par dénombrement sur les plantes.
On constate un renforcement des infestations. Pour 15 parcelles ayant fait l'objet d'un comptage sur plantes en ce début de semaine on observe une présence de charançons des siliques dans 10 cas dont 7 situations où le seuil de 0,5 charançon en moyenne par plante est dépassé à l'intérieur des parcelles.
Le modèle proPlant considère qu'à ce jour, selon la station météo prise en référence, 60 à 85 % des vols potentiels sont réalisés et estime que les conditions climatiques des tous prochains jours devraient être favorables à de nouvelles arrivées.
La période de risque pour les plantes débute avec la formation des premières siliques (stade G1-G2) - pas encore atteint sur une part importante des cultures - et s'achève au cours du stade G4 quand il n'y a plus de jeunes siliques faciles à piquer.
Le seuil de nuisibilité est fixé à 0,5 charançon présent en moyenne par plante à l'intérieur des parcelles, pour intégrer le risque cécidomyies.
Poursuivre la surveillance régulière pour évaluer le risque éventuel. Les bordures pouvant abriter des concentrations d'insectes, notamment en période d'infestation, il est nécessaire de faire des comptages à l'intérieur des cultures pour évaluer correctement le risque. Observer au minimum 20 plantes, et faire la moyenne à partir de la somme des charançons observés divisée par le nombre total de plantes observées et pas seulement par celui du nombre de plantes avec présence).
Cécidomyies des siliques Le modèle proPlant estime que le début du vol des cécidomyies est engagé. Ces petites mouches utilisent les piqûres des charançons des siliques pour introduire leurs pontes dans les siliques. Les asticots en se développant entraînent l'ouverture des siliques et la perte de leurs graines. Ce risque est intégré au seuil charançon des siliques.
Pucerons cendrés Aucune colonie repérée à l'intérieur des 15 parcelles ayant fait l'objet d'un dénombrement sur plantes en ce début de semaine hormis une présence en bordure observée dans 1 cas.
Oïdium Présence signalée sur une nouvelle parcelle de l'Allier, estimée à 5% des plantes parmi les 15 parcelles ayant fait l'objet d'une notation spécifique en ce début de semaine. Pour mémoire, il n'y a pas de seuil de risque pour cette maladie mais on considère que toute présence repérée à partir de la floraison constitue un risque suffisant, avec un gradient historique de présence s'accroissant du nord au sud sur la région.
Les parcelles ayant atteint ou dépassé le stade G1 - chutes des premiers pétales - sont maintenant entrées en période de risque de contamination.
Pour mémoire, il n'existe pas pour le sclérotinia du colza de seuil de risque a priori étant donné que la protection ne peut être que préventive. Le niveau de risque "a priori" peut être évalué selon :
- les taux de contaminations des pétales (données kits : on estime qu'à partir de 30% de fleurs polluées, le risque a priori d'avoir une contamination des plantes engendrant une nuisibilité est élevé),
- le nombre de cultures sensibles dans la rotation,
- les attaques des années antérieures sur les parcelles,
- les conditions climatiques plus ou moins favorables, d'abord à la germination des sclérotes, puis aux contaminations sur feuilles. Ce printemps humide peut être considéré comme un facteur favorable à la germination des sclérotes d'où se disséminent les spores et les conditions humides actuelles sont 1 des facteurs favorables à la contamination des plantes en absence de protection.
Les conditions météo à venir, humidité et températures favoriseront ou non la maladie : d'abord les contaminations durant la floraison (une humidité relative de plus de 90 % dans le couvert durant au moins 3 jours consécutifs et une température moyenne journalière supérieure à 10°C sont des conditions favorables) puis l'expression de la maladie en post floraison.
De nouveaux résultats "kits fleurs" mis en œuvre sur une partie des parcelles du réseau pour estimer le niveau de contamination des pétales sont disponibles. A ce jour le bilan est le suivant : sur 7 kits mis en œuvre avec des résultats disponibles on observe :
- 6 situations soit 86 % des situations contrôlées avec des pollutions significatives, supérieures à 30 % de fleurs polluées (35 à 100 %) montrant que la pollution des pétales par les spores de sclérotinia est importante et relativement généralisée,
- 1 seule situation (Puy de Dôme) avec un niveau de contamination faible ne dépassant pas 5 % de fleurs polluées. Ce kit sera renouvelé pour suivre une éventuelle progression de la pollution des pétales par les spores. Des résultats complémentaires devraient être à nouveau disponibles la semaine prochaine.
Insectes pollinisateurs Des observations abeilles ont été effectuées dans 5 parcelles, avec présence effective constatée dans la seule situation pour laquelle les conditions météo étaient plutôt favorables à l'activité au moment de la visite.
1.
Dans les situations proches de la floraison, sur colza, en pleine floraison ou en période de production d'exsudats, utiliser un insecticide ou acaricide portant la mention
" abeille ", autorisé " pendant la floraison mais toujours en dehors de la présence d'abeilles " et intervenir le soir par température <13°C (et jamais le matin) lorsque les ouvrières sont dans la ruche ou lorsque les conditions climatiques ne sont pas favorables à l'activité des abeilles, ceci afin de les préserver ainsi que les autres auxiliaires des cultures potentiellement exposés.
2.
Attention, la mention " abeille " sur un insecticide ou acaricide ne signifie pas que le produit est inoffensif pour les abeilles. Cette mention " abeille " rappelle que, appliqué dans certaines conditions, le produit a une toxicité moindre pour les abeilles mais reste potentiellement dangereux.
3.
Il est formellement interdit de mélanger pyréthrinoïdes et triazoles ou imidazoles. Si elles sont utilisées, ces familles de matières actives doivent être appliquées à 24 heures d'intervalle en appliquant l'insecticide pyréthrinoïde en premier.
4.
N'intervenir sur les cultures que si nécessaire et veiller à respecter scrupuleusement les conditions d'emploi associées à l'usage du produit, qui sont mentionnées sur la brochure technique (ou l'étiquette) livrée avec l'emballage du produit.
5.
Afin d'assurer la pollinisation, de nombreuses ruches sont en place dans les parcelles de multiplication de semences. Les traitements fongicides et insecticides qui sont appliqués sur ces parcelles, mais aussi dans les parcelles voisines, peuvent avoir un effet toxique pour les abeilles. Limiter la dérive lors des traitements. Veiller à informer le voisinage de la présence de ruches.
Cet encadré a été rédigé en 2012 par un groupe de travail DGAL, APCA, ITSAP-Institut de l'abeille, et soumise à la relecture du CNE.
Réseau Tournesol 2013 4 parcelles sur les 6 déclarées à ce jour dans la base régionale ont fait l'objet d'observations en ce début de semaine, du 29 au 30 avril 2013.
La parcelle observée est au stade "crosse" - levée en cours - pour un semis au 16 avril. D'une manière générale les semis ont été retardés compte tenu de la persistance de conditions fraîches et humides jusqu'à la mi-avril Les semis ont été retardés compte tenu de la persistance de conditions fraîches et humides jusqu'à la mi-avril. Alors que toutes les intentions de semis ne sont pas encore réalisées, la levée s'engage sur les parcelles semées. Les stades des parcelles observées en ce début de semaine se répartissent ainsi :
- 2 parcelles (50 %) au stade A0 - Germination en cours,
- 2 parcelles (50 %) au stade A2 - Emergence des cotylédons et premières feuilles visibles - Les plantules marquent la ligne,
Limaces Aucune limace observée sous les pièges des 2 situations où un piégeage a été mis en place. Des dégâts très limités sont rapportés sur 1 des 4 parcelles ayant fait l'objet d'observations spécifiques. Les conditions actuelles humides sont favorables à l'activité des limaces. Maintenir la surveillance, notamment sur toutes les situations à risque :
- les sols argileux, creux ou motteux,
- les parcelles fréquemment attaquées par les limaces,
- les rotations herbagères, le travail superficiel, la présence de paille ou de résidus mal dispersés, les successions de cultures d'hiver,
- les zones près des bois ou des friches.
Se référer à la page en ligne du site Cetiom : http://www.cetiom.fr/tournesol/cultiver-du-tournesol/ravageurs/limaces/facteurs-favorables/ pour une description détaillée des facteurs de risque.
Oiseaux Des manques dégâts limités sont signalés dans 3 des 4 parcelles observées.
Maintenir la surveillance. Se référer à la page du site Cetiom : http://www.cetiom.fr/tournesol/cultiver-du-tournesol/guide-oiseaux/ pour une aide à l'identification des espèces.
Ce bulletin fait état des observations réalisées sur 30 parcelles parmi les 52 déclarées dans le réseau : 12 dans l'Allier, 12 dans le Puy de Dôme, 3 dans le Cantal et 3 en Haute-Loire, observées entre le 28 et le 30 avril.
Avec les températures élevées du début et milieu de semaine dernière, le développement des blés a été rapide. La majeure partie des parcelles du réseau sont actuellement à 2 nœuds. En plaine, les plus précoces atteignent déjà le stade dernière feuille pointante. Seules des parcelles d'altitude ou des semis de novembre en plaine sont encore au stade 1 nœud.
Septoriose
Cette semaine, la progression de la septoriose a été moins rapide que celle des couverts : les feuilles contaminées sont " descendues d'un rang " suite à la sortie de nouvelles. Par conséquent, 12 parcelles présentent des symptômes sur F3 (de 10 à 40% des F3 touchées), seule une parcelle présente une contamination des F2 (20% touchées) et les F1 fraîchement émises sont actuellement indemnes sur la totalité des parcelles. Les contaminations les plus importantes sont notées dans le Nord de l'Allier, en Forterre et dans le Cantal (bassin d'Aurillac, St Flour). La région connaît actuellement une période de précipitations conséquentes qui vont favoriser la progression de la maladie vers les étages supérieurs. Le modèle Septolis prévoit une progression significative des contaminations cette semaine. Rappelons qu'à partir de 2 nœuds, le seuil de nuisibilité pour une variété sensible à la septoriose est atteint si plus de 20% des F3 sont touchées et pour une variété peu sensible, si plus de 50% des F3 sont touchées.
Piétin verse Cette semaine, l'observation des pieds a été réalisée sur 17 parcelles. Du piétin a été noté sur 5 d'entre elles. Le nombre de pieds touchés varie de 1 à 10%. Les 3 parcelles les plus atteintes, avec 10% de pieds touchés, se situent dans le Bocage Bourbonnais et en Limagne Nord. Il s'agit dans les 3 cas de parcelles à risque agronomique élevé (précédent à risque et/ou variété sensible).
L'observation du piétin verse doit être attentive jusqu'à 2 nœuds. Le seuil de nuisibilité se situe autour de 30% de pieds touchés et doit être affiné en fonction du travail du sol, du précédent, du type de sol, de la date de semis et de la sensibilité de la variété (consultez la grille de risque agronomique d'ARVALIS).
Le modèle de prévision du risque piétin verse TOP indique un risque climatique moyen à élevé pour les semis antérieurs au 15 octobre en Sologne et Bocage Bourbonnais ; notons toutefois que ces situations ont généralement dépassé le stade 2 noeuds. Le modèle donne un risque moyen en Forterre et toujours faible en Limagne quelle que soit la date de semis. Précisons que le niveau de risque indiqué par le modèle TOP est un risque climatique qui doit être complété par l'évaluation du risque agronomique de chaque parcelle (tenant compte des précédents et anté-précédents, du travail du sol, et de la sensibilité variétale). Pour plus de précisions consultez la grille de risque d'ARVALIS.
Autres Des contaminations faibles à modérées d'oïdium sont relevées sur 3 parcelles (de 10 à 20% des F3 touchées) en Limagne Nord et dans le Brivadois. Le foyer de rouille jaune sur la variété Pireneo observé la semaine dernière dans le bassin du Puy-en-Velay n'a pas progressé, malgré les conditions fraiches et humides de ces derniers jours.
10 parcelles sur 18 déclarées ont fait l'objet d'au moins une observation (4 dans l'Allier, 2 dans le Cantal, 2 en Haute Loire et 2 dans le Puy de Dôme) sur les périodes des 28, 29 et 30 avril.
De 2 nœuds à sortie dernière feuille en plaine et épi 1 cm à 1 nœud en altitude.
Aucun dégât de ravageurs n'est rapporté.
Pas d'évolution depuis la semaine dernière, voir même une diminution de la pression sur les 3 dernières feuilles, les maladies restant cantonnées sur les F4.
On note cependant 2 parcelles de l'Allier avec 10% de F3 touchées par la rhynchosporiose et une parcelle avec 20 % des F3 touchées par l'helminthosporiose.
Dans le Cantal, une parcelle est touchée sur 20% des F3 par la rhynchosporiose et 1 parcelle est plus fortement touchée par l'helminthosporiose avec 20% des F2 et 40% des F3.
Pas de signalement de maladies sur les 3 dernières feuilles en Haute Loire et dans le Puy de Dôme sur les 4 parcelles observées cette semaine.
Ce bulletin fait la synthèse de 12 parcelles observées sur la région Auvergne cette semaine (5 en Haute-Loire, 1 dans le Puy de Dôme, 4 dans l'Allier et 2 dans le Cantal).
Si les températures parfois élevées de la semaine dernière ont favorisé une pousse assez rapide des triticales de la région à toute altitude, le froid et même la neige qui s'est invitée ce week-end au-dessus de 800 mètres ralentit de nouveau le développement des cultures. Les triticales sont au stade " épi 1cm " pour les plus tardifs des parcelles d'altitude (secteur de Craponnes) à " 2 nœuds " sur les secteurs de 800 à 1000 mètres d'altitude. Les triticales de plaine atteignent quant à eux le stade
" dernière feuille étalée " (2 parcelles du réseau, dans l'Allier).
L'état sanitaire des triticales reste globalement stable avec une pression maladie moyenne. On note cependant quelques évolutions :
Le foyer localisé de rouille jaune signalé dans le secteur de Moulins n'est plus mentionné depuis la semaine dernière à la faveur d'une protection fongique.
L'oïdium, toujours présent dans l'Allier, est signalé dans des proportions plus faibles. Cependant la maladie fait son apparition en Haute-Loire (vallée de l'Allier, langeacois) avec 20% des F3 touchées soit le seuil de nuisibilité pour ce stade de la culture (1 nœud).
La rhynchosporiose, repérée sur une parcelle de l'Allier (secteur de Vichy) lors des observations précédentes, a encore progressé ; à ce jour 100% des F3 sont impactées et 30% des F2. Elle est favorisée par des températures fraiches et des précipitations régulières. Rappelons que le seuil de nuisibilité est atteint lorsque 10% des feuilles sont touchées et que le risque de pluie est avéré sur la semaine à venir. Les stades les plus sensibles sont entre
" 1 nœud " et " barbes pointantes ".
La septoriose progresse légèrement sur les 2 parcelles cantaliennes (bassin de Massiac et d'Aurillac) touchées depuis la semaine dernière par la maladie. Sa proportion est de 40% des F3 et 20% des F2. Cette maladie, favorisée par les pluies parfois soutenues de ces derniers jours, connaît un seuil de nuisibilité d'environ 20% des F3 à compter du stade " 2 noeuds " soit le stade actuel de la culture.
La fusariose sur tige est mentionnée pour 2 parcelles du réseau : secteur de Moulins et d'Yssingeaux.
Enfin, le microdochium a fait son apparition, notamment en secteur d'altitude sur le département du Puy-de-Dôme touchant 30% des F3 en variétés moyennement sensibles et jusque 100% des F3 en variétés sensibles (Renovac, par exemple).
| Maladies | Secteur de plaine | Secteur de moyenne altitude | Secteur d’altitude |
| Rynchosporiose | Progression (Vichy) | Légère progression (43) | Absence |
| Septoriose | Absence | Progression (15) | Absence |
| Oïdium | Stable | Faible présence | Absence |
| Microdochium | Absence | Absence | Apparition (63) |
Ce BSV reprend des observations ponctuelles qui donnent des tendances régionales. La Chambre Régionale dégage toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs concernant la protection de leurs cultures. Action pilotée par le Ministère chargé de l'Agriculture, avec l'appui financier de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto 2018.
Directeur de Publication: Gilbert GUIGNAND, Président de la Chambre Régionale d'Agriculture
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